Townsend Iwan alias Orpheus”

How I love Life. And. You.~♫

Prénom : Iwan Nom : Townsend Surnom : Clochard par Luce, le dragueur en général, que des mots d’amour~ Sinon il se fait appeler Orpheus depuis son retour à Chicago, donc y'a Orphy, Phy, Orph aussi... Date de naissance : 3 juillet 1992 Âge : 39 ans Sexe : masculin Origines : Américano-polonaises Nationalité : Américaine Orientation sexuelle : Demisexuelle Emploi : Le comptable de The Male, même s’il se fait passer pour seulement être un chanteur occasionnel de la boîte, qui y traîne souvent. Groupe :  Nowakowski Family Race : Canidé – semi-moyen gabarit scellé- Chien courant Polonais noir et feu – Canis lupus familiaris

Goût : Il y a certaines choses dont tu es sûr d'aimer jusqu'à la fin de tes jours, ta famille(qui comprend naturellement tes trois demoiselles) , la musique(surtout chanter) et le café, le vrai. Pourtant tu n'en es pas un drogué, préférant un arôme qui pourrait te faire bander à la première gorgée, qu'un litre qui pourrait te faire vomir...
Par la force des choses, tu t'es découvert une passion pour les plantes carnivores... Pourquoi? Car avec ton allergies aux moustiques et ta haine envers les mouches, tu as trouvé ce prédateur qui pouvait être beau, en plus qu'efficace.
Les langues t'amusent, grâce à tes multiples origines, dès ton plus jeune âge on t'a appris à parler plusieurs langues, l'américain et le polonais pour commencer, puis d'autres au The Guest et durant tes études, comme le français, l'anglais, l'espagnol et l'italien.
Depuis ton retour à Chicago, tu as une peur phobique des étendues de sang, et tu n'en sais pas la cause... Car le sang sur des blessures ne t'a jamais rien fait. Mais depuis cet instant, si le sang prend une place importante sur une surface, tu paniques, l'air manquant dans tes poumons et ton esprit s'engourdissant.
Tu as un problème avec l'eau aussi... Tu sais nager, mais tu n'as clairement pas envie de barboter en entier dedans. Fait que tu ne peux expliquer non plus depuis quelques temps...
L'acteur que tu es, n'a jamais craint le maquillage, les perruques, ni les talons et autres équipements dits féminins. Après tout, le corps est un terrain de jeu utile, et les accessoires un bouclier pour se cacher des autres. Alors tu laisses volontiers tes Douces se servir de toi comme d'une poupée.
Tu aimes les uniformes, les costumes et les robes biens taillés. L'un de tes petits péchés qui peut faire détourner ton regard de son objectif de base....
Tu aimes et détestes les odeurs, tant que c'est léger, ça va. Mais ton flair légèrement plus développé peut te donner vite mal au crâne quand c'est trop fort pour ta sensibilité... Des fois ça peut devenir l'Enfer au The Guest et The Male, mais tu fais avec....
Niveau nourriture, tu n'es pas raciste, tant que le goût est subtile, et non écrasant...
Bien que tu prennes du plaisir à flirter, jouer avec les gens, ça dépassera très rarement ce stade. Cette attitude servant principalement pour ton travail, pour obtenir des informations diverses et variées.


Caractère : Tu dis souvent que nous sommes acteur de notre propre vie. Et tu l'appliques assez bien, jouant une multitude de facettes. Enfin surtout sous ton rôle d'Orpheus.... ce dernier passe pour un fin dragueur souvent tactile, avec ses moments totalement désabusés. Ou totalement l'inverse, l'homme redoutable qui prend son travail très au sérieux, dégageant un charme de sûreté et séduisant, attirant la clientèle d'un clin d’œil en plein milieu d'un chant. Pourtant Orpheus t'emprunte énormément de ton caractère, mais ça, seuls tes proches le savent, le tout étant savamment mélangé. Comme toi, il est compréhensif, ouvert d'esprit, ne jugeant jamais une personne selon les on dit. Rien n'est tout noir ou tout blanc, juste qu'il y a une vaste palette de gris.
Malgré ses penchants pour flirter, taquiner, qui servent à comprendre, piéger son interlocuteur (sait-on jamais, l'ennemi et les mauvais éléments peuvent être partout~), Orphy est en fait assez calme, bien qu'énergique. Un calme opposé du tien, qui est serein, reposant ton environnement de par ta douceur. Tu sais apaiser, consoler les âmes en peine avec la simplicité des mots ou d'un touché sincère. Tous deux, vous ne vous énervez jamais, la colère et la violence n’amenant rien de bon. Pourtant, ça se sent tout de suite quand la gentillesse vous quitte, et ça en devient même flippant, le visage qui d'ordinaire sent la joie, fait frissonner de par sa froideur polaire. Même si ça se voit moins, Orpheus est aussi romantique que toi, tendre et affectueux, par des petites attentions , une main sur une épaule ou les reins par-ci, un clin d’œil ou un baiser par là, en plus de ses surnoms, chaton étant l'un de ceux de base.  Alors que tu seras plus secret pour l'affection que tu portes à tes proches, aimant être discret.

En fait tu as un côté peureux, tu es beaucoup trop prudent sur tes sentiments, tu veux être en sécurité. Alors que tu joues au téméraire flegmatique pour aider tes paires, ne craignant rien pour eux. Car les amis c'est pour la vie, pas vrai? Donc tu n'as rien à craindre avec eux. Pourtant tu demandes tout de même d'être rassuré assez souvent par eux, avec des gestes, mots, n'importe quoi qui prouve que vous êtes toujours connectés.
Tu détestes ce sentiment inutile et idiot qui te ronge quand tu vois tes Uniques être heureuses sans toi. Tu aimes et veux les voir comme ça, mais pas qu'elles t'abandonnent. Ce qui n'arrivera jamais, tu le sais pourtant, mais tu ne peux t'empêcher d'avoir peur.
Tu détestes cette partie faible de ta personnalité, qui malgré la confiance, n'est pas tout à fait sûre.
Ta vie privée? Seuls les vrais la connaissent, et encore, il y a toujours quelques éléments que tu gardes cachés au fond de ta mémoire perdue, pour ton propre bien.

Physique : Malgré que la quarantaine pointe le bout de son nez cette année, ça ne semble pas se refléter physiquement sur toi. Habillé, ta silhouette est élancée sur 184 centimètres, cachant habilement tes 79 kilogrammes de muscles forgés par les combats de rues, les fuites imprévues, ainsi que tes belles poignets d'amour que l'on n'aurait jamais cru voir une dizaine d'années auparavant.
Ta pilosité est présente, même si on ne le dirait pas, tu entretiens ta barbe négligée de quelques jours, que tu peux raser pour certaines occasions. Sur le reste de ton corps ce n'est pas la totale invasion non plus, pouvant contempler ta peau claire, parsemée de cicatrises ici et là. Tu ne les crains pas, loin de là, tu les regardes même avec nostalgie, souvenirs de ton passé aimé. Il y en a une en particulier qui est visible, celle sous ton œil droit, qui a failli finir aveugle. Dès que l'on te pose des questions dessus, tu racontes une nouvelle histoire, ça amuse tout le monde, et ça ne les regarde pas.
Tes longs cheveux sont d'un noir impeccable, normal vu que tu passes régulièrement chez le coiffeur, aidant à fausser ton véritable âge. Tu ne crains pas la couleur poivre et sel naturelle de ta chevelure, mais tu préfères la garder sous ton armure qu'est Orpheus. Par contre la coiffure change aussi souvent que l'humeur et la tenue, privilège de cette longueur que tu aimes tant.
Tes yeux sont tout aussi sombres que tes cheveux, et souvent soulignés par des cernes bien ancrées. Pourtant on peut y décerner facilement en général la joie, la malice, une fausse luxure ou un air désabusé. Mais véritablement tes sentiments peuvent se lire dans tes prunelles, quand tu le souhaites....
Bien que cachés par tes habits, tu as une multitude de petits tatouages, racontant ta vie.
-Dans ton dos au niveau du cœur, il y a la silhouette d'une sirène en compagnie de son âme sœur, où dans leur ombre se dessine une lyre(tes parents et toi).  
-Au dessus de ton aine droite se trouve un triquetra (Luce, Anna et toi) stylisé par tes soins dans des dégradés de noir, entourés par un lys d'un côté (ton neveu perdu), une freesia d'un autre côté (Aria), le tout soutenu par du lierre.
-Dessous ta clavicule gauche, une onde musicale de quelques notes(d'un de tes morceaux préférés)
-Au dessus de ta hanche droite dans le dos, deux ombres dont tu ne comprends plus le sens, et ça t'énerve.... (Tes deux chimères)
-Dessous les mollets droits, une morsure canine que tu ne comprends pas non plus... Tu devais être saoul quand tu l'as fait, mais tu l'aimes beaucoup. (Pour ta forme animale)
Pour les vêtements, tu aimes les habits qui te mettent en valeur, que ça soit classe ou pas. Mais tu fais un effort au The Male et The Guest pour être irréprochable, traînant principalement en veston avec un pantalon en flanelle ou jeans, la cravate savamment relâchée , voire d'autres tenues spéciales pour les soirées à thèmes. Au quotidien, c'est plus ou moins la même chose mais beaucoup moins réfléchi, le bas de pyjama en soie ou satin, avec une vieille chemise étant la solution idéale quand tu ne sors pas de chez toi.....



Histoire : Tu es né métisse d’une drôle d’union. Tes parents sont des canidés, rien de plus normal comme couple chez les thérianthropes. Mais ton père, Ryan Townsend, est un américain bien d’ici, travaillant dans une boîte en tant que salaryman, sans faire de plis dans sa vie. Alors que ta mère, Nina Chmiel, vient du quartier fermé des polonais. Bien que née sur ce sol, elle n’a aucun gène venant de ce pays. Comment ont-ils pu se rencontrer ? Tout simplement dans un moment de solitude de Ryan, qui se perdit dans un coin de plaisir avant d’entrer dans une maison close, attiré par une voix. Il s’installa au bar, ne quittant pas la scène des yeux, écoutant Lorelei, de son pseudo. L’américain avait demandé son nom rapidement à l’employée qui lui servait à boire, mais il n’eut que celui de scène. Envoûté, il décida de revenir la voir plusieurs fois par semaine pendant un mois, seulement pour l’écouter au début. Puis se jeta à l’eau pour la réserver pour lui seul, le temps d’une soirée. Il ne demanda que sa compagnie, rien de plus que des discussions, comme comment elle avait fini dans ce lieu, ce qu’elle aimait, tout qui pouvait la faire parler. Ryan apprit donc que sa douce chanteuse était là par choix, ne voulant pas quitter la famille, lieu de sécurité pour elle, et facile pour vivre. Réponse qui étonna notre homme, ne comprenant pas comment elle pouvait se vendre aussi facilement, mais ne la jugea pas. Après tout, il avant bien acheté ses services….. Pourtant, leur relation achetée resta platonique, moment de détente pour la demoiselle, moment de rayonnement pour le jeune homme. Six mois passèrent ainsi, avant que la flamme de l’amour dans le cœur américain ne crie sa passion par jalousie, n’en pouvant plus de devoir la partager avec des inconnus…. La déclaration toucha la prostituée, mais annonça qu’elle devait travailler ici, seul endroit où elle était acceptée, et sans diplôme supérieur. Ryan comprenant sa situation, mais n’en pouvait plus. Il la voulait pour lui seul… Alors pendant plusieurs jours, il réfléchit, réfléchit à leur environnement, futur possible. Puis il revint la voir, lui demandant juste de ne plus vendre son corps à personne, elle pouvait faire tout ce qu’elle voulait, mais plus ça. Il savait qu’elle rêvait de n’être plus qu’une chanteuse, et il lui permettait en restant ici.
Après de longues négociations avec ses supérieures, car ils n’employaient pas de femmes fainéantes. Elle put rester comme chanteuse, mais aussi cuisinière, nourrice si besoin, et aide pour ses camarades. Certes elle avait gagné en liberté, mais perdu en temps libre.

Pourtant le couple maintenant réuni, ne se démonta pas. Car ton museau ne tarda pas à montrer le bout de sa truffe, dans ce lieu fermé qu’est Powlish Village.
Tu fus élever enveloppé dans l’amour, malgré les horaires chargés de tes parents, et la mise à l’écart de ces derniers par les habitants du quartier polonais. Ce que tu ne comprenais pas, mais tu ne préférais pas déranger plus tes géniteurs. Petit garnement fier d’être un canidé chanteur comme ta maman, tu laissais souvent tes oreilles et ta queue sorties. Pourtant tu savais te maîtriser, mais tu ne voyais pas l’intérêt de cacher ta nature, car tu vivais en sécurité avec tes proches.

Mais quand ta chère maman t’emmena à son lieu de travail, tu compris pourquoi tu devais te faire tout petit, entouré, même un court instant, par ces grandes personnes inconnues. C’est aussi dans ce lieu que tu rencontras un peu plus tard deux personnes qui te resteront chères tout au long de ta vie, Anna et Luce. Ta mère te présenta à elles deux, en te demandant discrètement de veiller sur les deux fillettes, comme ta propre vie. Même encore aujourd’hui tu suis cette demande. Au début ça t’ennuyait de t’éloigner du bâtiment, ne pouvant plus écouter la belle voix de Lorelei sur scène. Mais les regards des adultes te semblaient menaçants, en plus de sentir l’ambiance malsaine que tu comprenais de mieux en mieux. Alors tu préférais éloigner le plus vite possible les filles de ce lieu. Vous en profitiez pour jouer, vous découvrir, ainsi que de les aider pour les devoirs ou des explications, étant l’aîné du trio. En plus d’entraîner Luce avec son aura, enfin… ça finissait parfois en concours idiots.
Tu affectionnais les moments à la maison, où ta mère t’apprenait à chanter, avant de montrer tes progrès à ton père. Vous étiez heureux. C’est ce qui te permettait d’évoluer dans l’environnement du clan Nowakowski et du quartier polonais en tant bâtard, sans en être touché.

Tu grandis, les fillettes à tes côtés devinrent des adolescentes. Pendant qu’Anna se scandalisait de la mafia de son père, tu laissais couler, ayant eu le temps de comprendre plutôt. De toute façon l’important pour toi, c’était que ton petit monde soit heureux et en bonne santé, le reste n’était que piment pour faire bouger les banalités de la vie.

Ton destin, tu l’avais choisi très jeune, voulant être dans le monde artistique, mais en tant que soutien, imprésario. Alors tes pas te menèrent en master de l’art du spectacle. Un chemin idéal vus tes prédispositions pour la musique, ainsi que ta facilité à dialoguer dans plusieurs langues. C’est d’ailleurs durant ces années d’études supérieures que tu partis découvrir le reste du monde, apprenant sur le tas la langue du pays de ton stage. C’est ainsi que tu visitas une grande partie de l’Europe, passant même en Pologne pour comprendre une partie de tes origines. C’est aussi à cette époque que tu te retrouvas souvent dans les mauvais coups. Car tu te liais à des personnes intéressantes pour toi, mais avec quelques problèmes pour des lambdas. Alors comme toujours, tu appris sur le tas à te battre, par pure légitime défense. Tu envoyais des cartes de beaux sites à ta famille, qui comprenait les filles. Même si tu discutais avec eux sur internet, c’était un petit plus à partager avec ton monde.

Une fois tes études finies, tu te calmas, un peu, ne quittant plus le pays, mais bougeant énormément dans ce dernier pour trouver, faire évoluer des musiciens, te faisant mûrir au passage.
C’est à l’aube de ton quart de siècle que tu rencontras ton premier coup de foudre, à San Diego. Tu te baladais dans la banlieue, fredonnant, pour évacuer les surplus de la dernière soirée. Quand tu tombas sur un corps, étendu devant tes pieds, après avoir suivi une odeur intrigante. Malgré tes nombreux voyages et rencontres, c’était la première fois que tu croisais une chimère. Ces nouveaux sentiments t’étonnaient, mais comme toujours tu les acceptas tout de suite. Malgré les précautions que tu as reçu sur cette caste, tu l’aidas à se relever, lui prodiguas quelques soins avant de la ramener dans ton studio. Car elle ne voulait pas rentrer chez elle.
Cette colocation ne finit jamais, même si les lieux, eux, changeaient inutilement souvent. Pour que la famille de la chimère ne vous retrouve pas trop vite. Dans votre balade amoureuse, tu compris les précautions apprises plus jeune. Des fois cet être de ta vie, laissait la colère de son côté ours noir(ou un savant mélange avec son cétacé ?) prendre le pas, te blessant plusieurs fois. Dont celle où tu faillis perdre ton œil droit, tu aurais dû aller aux urgences, mais tu ne voulais pas laisser la chimère seule. Ton amour finirait bien par la calmer, comme toujours, et c’était vrai.

Trois ans après votre rencontre, un troisième membre vint s’ajouter à ce que vous appeliez votre famille. Ta moitié voulait absolument porter votre petit, ayant peur des conséquences sur ton corps. Tu comprenais son point de vue, même si tu trouvais son corps plus fragile que le tien, mais acceptas tout de même sa requête.
Ces mois de grossesse furent compliqués, les sautes d’humeur passant de la violence à la dépression. Malgré tout, tu faisais admirablement ton boulot de père, soutenant, aidant ta jeune famille, tout en donnant des nouvelles à ta première famille, que tu n’oubliais pas. Mais sans jamais parler de votre localisation, une paranoïa inutile ayant gagné votre couple.
La naissance de votre bébé ne fut pas aussi merveilleuse que tu l’espérais. La santé mentale de ta moitié s’était détériorée, pleurant d’avoir donné naissance à un monstre, comme elle, alors qu’elle avait confiance en toi. Tu ne comprenais pas ses propos, trouvant votre enfant aussi beau qu’elle. Ses regrets et reproches devinrent sa litanie...
Un jour ordinaire, où tu rentrais des courses, prit une autre tournure une fois la porte passée. Ton nez sentit une odeur qui te décida à courir jusqu’à votre chambre. Ton cœur s’arrêta, devant toi se trouver une scène beaucoup trop violente pour que tu puisses tout analyser. Beaucoup trop de sang….
La chair de ta chair ainsi que ta moitié n’étaient plus de ce monde. Cela, tu l’avais compris avant qu’un trou noir ne t’englobe….

Il fallut un peu plus d’une semaine pour que tes parents te retrouvent, sous ta forme animale, allongé dans le sang de ta famille disparue. Ils avaient reçu un message de la chimère durant un moment de lucidité, qui leur disait de venir te récupérer rapidement. Sinon, ils allaient te perdre. Les pauvres avaient fait aussi vite que possible. Mais tu dépérissais bien avant cet accident, la peau sur les os, le regard mort, fixé sur des flaques où il y aurait dû avoir des corps… Tu n’as jamais voulu mourir, mais tu attendais tout de même la grande faucheuse pour te réunir de nouveau avec ces deux êtres.

Un an durant, ta forme animale fut ta seule apparence. Tes parents désespéraient de te revoir parler, ou même chanter avec eux.

Mais ce sont des malheurs qui te réveillèrent, alors que tu venais de passer ta trentième année. Anna devint Chef de la famille Nowakowski à cause d’un accident. Apprenant au passage par erreur que Luce se vendait au The Guest depuis un moment déjà, mais on te l’avait caché… Bien que tu ne pouvais pas répondre, tes parents te tenaient toujours au courant de ce qu’il se passait. C’est ce qui te sauva. De devoir veiller sur tes petites filles, devenus femmes, te ramena à la réalité.
Bien qu’au début ce fut compliqué pour communiquer, ton corps toujours fragile de ta maladie, pouvait servir de bouclier et de soutien à tes demoiselles. Et c’est ce qu’il se passa, retrouvant ta force dans ton rôle premier. Tu demandas à des connaissances de fac de te sceller, ne voulant pas que ton passé gâche ton monde en entier. Alors pour une pensée de séparation beaucoup moins dure, tu oublias le funeste destin de tes chimères, pendant qu’une larme coula de ton œil droit. Puis tu oublias ta nature profonde, de ton œil gauche.

Pourtant, six mois plus tard, quand Anna perdit son bébé, ton sceau commença déjà à bouger. Mais ça, tu ne le savais plus. Tu sentais comme une odeur animale dans certaines personnes, mais pas toujours, ça devait être le choc de perdre un neveu…

Peu après, la naissance de ta nièce te fit redécouvrir ton côté gaga avec les petits. Enfin, tes petits....

Pour tes trente-deux ans, Anna voulut t’offrir un cadeau original, le poste de Comptable. Tu en fus extrêmement touché. Tu acceptas, mais il fallait que ça reste secret. Étant un bâtard, tous ne voyaient pas d’un bon œil ta compagnie auprès de la Chef, pourtant tu lui es d’une fidélité sans limite, comparé à d’autres….
Alors tu proposas de te faire passer comme simple chanteur intérimaire, répondant au nom d’Orpheus, au The Male, presque comme ta mère au The Guest. Puis à ce simple intermittent, tu lui inventas une liaison spéciale avec le Comptable et la Gérante. Comme ça tu pouvais agir sur ton domaine presque normalement, tout en ayant discrètement des oreilles et des yeux partout pour vos employés, clients, parfois ennemis aussi... Depuis que tu es devenu officiellement officieusement le Comptable, tu prends très au sérieux la vie de tes employés. Sans t'en rendre compte, ils ont pris le trou qu'avait laissé ton duo de chimères dans ton cœur...
De toute façon, tu n’as jamais connu la normalité et ça te va bien, malgré quelques aléas de la vie.


Famille : Père : canidé petit gabarit – foxhound américain, Mère : canidé moyen gabarit - Chien courant polonais
Tous deux savent que la chimère s’est suicidée avec l’enfant, avec l’aide de la famille cétacé. C’est pour ça qu’il y a eu un carnage. C’est la punition de leur liaison, même si elle a aidé tout du long ces derniers pour  des données supplémentaires pour les nouveaux cétacés….
Pour le sceau, Iwan étant au plus mal quand il l’avait demandé, lui même n’était pas très sûr de sa demande. Pouvoir vivre sereinement avec lui-même ? Oui, sûrement que la condition optimale était pour son subconscient, mais pas la seule possible, aux vues de la première fissure…
Tous les thérianthropes, non proches, qui ont connu Iwan jeune, pensent que ce dernier a disparu dans la nature, et ne font pas le lien avec Orpheus le singe.



Autre chose : Nope
As-tu bien lu le règlement? : Peut-être~
Comment as-tu découvert ce forum? : ça ~
C'est quoi ton avatar ? : Shôta Aizawa – Boku no Hero Academia
As-tu lu les manga Love Pistols ? : A ce qu’il paraît
Regardé les OAVs ? : idem
Changerais-tu quelque chose? : Les règles de la vie~