Prénom : Summer, Samina Nom : Berryl Surnom : Sami Date de naissance : 12 avril 1999 Âge : 33 ans Sexe : Femme Origines : Américaine, suédoise, africaine (lointaine) Nationalité : Américaine Orientation sexuelle : Hétéroflexible Emploi : Libraire Groupe : Nameless Ascendances : Chat doré africain

Caractère : D’apparence sobre et paisible, vous confiriez à Summer vos enfants, votre grand-mère, votre maison et tous vos plus petits secrets tant ce qu’elle dégage est doux. C’est une femme qui embrasse sa trentaine et sa vie avec un apparent optimisme, extrêmement solaire et lumineuse. Tous ses clients vous le diront : « Malgré ce qui est arrivé elle reste souriante et constante, on a toujours l’impression d’être attendu quand on entre ici ! ». D’après eux la libraire est à l’image de sa boutique : carrée, douce, accueillante. Vous êtes un ami à partir du moment où vous entrez ici, et la propriétaire fait tout pour vous le faire comprendre. Oh bien sûr elle n’est pas sans défaut, la jeune demoiselle : un peu tête en l’air, légèrement excentrique, souvent dans la lune. Son regard à tendance à se perdre sur les rayons, parfois même au milieu de ses phrases, coupant court au fil de la conversation. Rien de bien méchant, vraiment, juste un peu indisposant lorsqu’on est pressé et qu’on veut repartir aussi vite que l’on est entré.

Cette façade propre et aimable, lisse et sans accroc, c’est un travail de tous les jours. Summer a appris à se contenir. Ne pas montrer la colère, la remplacé par un éclat de rire doux, confus. Ne pas montrer la tristesse, la muée en une moue boudeuse, gentille et douce. Ne pas montrer la douleur, en faire un sourire, le plus grand qu’on est capable d’aborder. Ne pas montrer la haine, y préférer l’indifférence ou une peur obédiente. Tout chez elle est faux, calculé, maîtrisé. Le but ? Se protéger mais surtout donner l’illusion d’une personne ordinaire, banale. Ne pas attirer l’attention, jamais. Se camoufler, être un parfait caméléon, ainsi personne n’approchera son domaine, personne ne fouillera, personne ne découvrira ce qui se tapis en elle.
Summer est une femme en colère, qui a perdu confiance en la police, en la justice, en la vie. Son monde a explosé une première fois à la mort soudaine de ses parents, et alors qu’elle en ramassait encore les morceaux, qu’elle essayait de recoller les fragments de sa vie, une seconde explosion lui a pris son seul appui, a fini de tout détruire. Plus de repère, plus de soutien, une longue, très longue chute dans le vide hanté par un profond sentiment d’impuissance. C’est tout ça qu’il y a dans le cœur de la jeune libraire. C’est tout ça qui forme la réalité de son caractère. C’est une femme amère, cynique, acerbe. Une femme-enfant lunaire qui aime à se perdre dans tout ce qui pourrait l’empêcher de se rappeler, tout ce qui peut l’aider à se perdre.
L’alcool, la drogue, le sexe, ça a été bien un temps, aujourd’hui c’est la vengeance son carburant. Purger cette ville, faire le boulot qui n’a pas pu être fait par les pros. Et pour ça elle est prête à user de tout ce qu’il faut, à séduire, à trahir, à mentir. Il n’y a plus de règle, plus de limite. Après tout, qui se méfierait de la jolie libraire au corps juvénile ? Qui irait fouiller un endroit où, chaque mercredi et samedi, les enfants viennent profiter de lectures gratuites ? Pourquoi venir embêter quelqu’un d’aussi investi dans la vie associative de son quartier ? Non vraiment, qui chercherait le moindre embêtement à la douce et charmante Miss Berryl ?

Goûts : On ne peut pas dire que mademoiselle soit quelqu’un de difficile. Elle aime sa libraire, un commerce qui lui vient de loin, des premiers hommes libres de sa famille en fait, dont elle a hérité à la mort de ses parents. D’eux elle tient aussi son amour des livres, des histoires ; rien ne l’absorbe plus que des heures à s’évader, que ce soit en produisant ou consommant de la littérature. Elle possède un blog régulièrement alimenté en nouvelles, contes, chapitres, poursuivant plusieurs projets à la fois ; son planning d’écriture est extrêmement précis et elle s’assure de toujours prévoir de façon à l’alimenter même pendant les breaks.
En dehors de ses livres Summer s’est découvert un intérêt pour les sports de combat. Ca a débuté avec du self défense suite à une petite altercation, qui a évolué vers la boxe thaï après deux ans. Ce n’est pas une passion vitale, mais ça lui permet de se faire du bien, se défouler et s’entretenir tout en même temps. Elle sort aussi courir, de façon à garder une bonne endurance. On ne sait jamais, parfois on est amené à détaler sans prévenir, et il vaut mieux tenir la distance ! Dans la catégorie défensive, la jeune femme s’est aussi trouvé un intérêt pour ce qui coupe et permet de frapper plus fort. Intérêt certes très modéré, mais ne vous étonnez pas qu’elle vous sorte non pas une bague mais un petit poing-américain de son sac à main si vous l’importunez un peu trop. Vous savez, ces petits modèles à peine plus gros que des bagues. Mais c’est si risqué les rues pour une frêle jeune femme de nos jours.

Il n’y a rien que la libraire adore ou déteste particulièrement à part son établissement et la littérature. Elle ne fait absolument pas confiance aux flics et au système judiciaire en général, donc sera naturellement méfiante envers les gens qui y sont reliés. Team ACAB (All Cops Are Bastards), Summer sera toute gentille et tout sourire en face mais leur fera de gros doigts sous le bureau, jamais volontaire pour les aider. Elle préfère régler ses comptes et ses soucis seule, et peut se montrer très, très imaginative pour ça. Parfois un peu puérile aussi, mais ça ne fait pas de mal. Pas à elle.
Même s’il lui arrive d’être un peu immature dans ses revanches, Summer déteste être infantilisée. Et là elle redoublera de comportement plus ou moins adulte pour vous faire regretter de l’avoir traité comme une enfant. La rhétorique et les références littéraires sont ses amies, l’ironie et le cynisme aussi. Pendant un temps c’était aussi l’alcool, la drogue, la cigarette (elle fume d’ailleurs encore de temps à autre, ça ne fait pas de mal aux nerfs), dans une quantité assez affolante pour son gabarit, mais elle s’est un peu calmée. Ce n’est pas quelqu’un qui aime la fête ou le bruit excessive. Oui les ambiances festives sont agréables, c’est vrai, mais quand même, on n’a pas mieux à faire ? Nettoyer la ville peut-être… ?

Physique : Summer est une femme de petite taille, 1m47 à la dernière mesure, à la peau métisse et aux yeux bleus plutôt clair qui lui viennent des origines suédoises de sa mère. Ses cheveux sont coupés courts, dans un très léger carré, avec une frange assez courte pour dégager son visage. S’ils sont d’habitudes foncés et très bouclés, la libraire les maltraite depuis des années pour les garder lisses et les teindre en violet. Un travail d’entretient quotidien et chronophage, mais qu’elle ne se voit pas arrêter maintenant.
Son corps, en plus d’être petit, est fin, longiligne. Depuis cinq ans maintenant qu’elle pratique les sports de combats (self defense puis boxe thaï) Summer a quand même réussi à le muscler, le rendre plus fort, plus formé par endroit, mais il reste une source de complexe qui ne se tarit pas. Avec son visage rond, ses grands yeux à longs ciles, ses lèvres fines, elle est ce qu’on appelle une femme-ado et ça la rend furieuse. La jeune femme a l’horrible impression de correspondre aux critères du loli-dégueu moyen : petite, mignonne, l’air ingénu, enfantine mais légale ! Et ça lui vaut parfois des remarques qui lui donnent envie de faire manger la table à ceux qui osent les sortir. « Mignon » est un mot qu’elle prend comme une insulte, comme tous les « ma petite », « bichette », « chaton » et autre diminutif souvent paternaliste qui la font enrager. Bien sûr il ne faut rien montrer, rester poli, mais sachez quand même que la « choupette » a certainement les compétences de vous mettre au sol et vous maîtriser.

Pour palier à son apparence juvénile Summer tape dans le vêtement classe ou sexy, celui qui respire le cliché de féminité, la femme forte et indépendante, la nana qui en veut ! Au boulot ça sera plutôt pull épaule dégagée et jupe ou short, court juste ce qu’il faut pour ne pas choquer les mamans mais avec les chaussettes jutes assez hautes pour attirer l’œil des papas. Le push up est son meilleur ami pour valoriser son petit C même sous un vêtement un peu ample, et les talons ou autres chaussures compensées remplissent son dressing à l’en faire déborder. Elle est d’ailleurs très à l’aise sur chaussure haute, parfois même un peu plus que sur sol plat.
Hors de sa librairie, tout va dépendre du contexte : de la robe fendue de chaque côté au mini-short et débardeur dégagé, Miss Berryl a tout une armoire prête à montrer qui elle est, ou plutôt qui elle veut vous faire croire qu’elle est. En cas de sortie avec les copains et copines des Nameless elle aura tendance à cacher son visage sous un masque, tenant à son anonymat autant que possible même avec ceux qui sont censés être ses alliés. Puis avouons-le, une tête de mort ça en impose quand même vachement plus que des grands yeux de biches.



Histoire : (minimum 300 mots, nous devons obligatoirement trouver dans votre histoire :
- La race de ses parents si c'est un thérianthrope, les raisons pour lesquelles il a été scellé et le moyen de le desceller s'il y en a un (même si le personnage est voué à ne jamais être descellé !)
- Quel ancêtre a transmis les gène de thérianthrope, s'il est un atavique non-révélé.
- Où a-t-il grandi et quand est-il arrivé à Chicago, si ce n'est pas sa ville natale et pourquoi être venu à Chicago (travail des parents, offre d'emploi, études, police, mafia, etc.)
- Si votre personnage n'est pas métissé Américain, précisez si son côté 100% étranger est du au fait qu'il a vécu dans un quartier communautaire où on se mélange très peu avec les autres ethnie (Little Italy, Little Vietnam, Powlish Village, etc.), ou si c'est parce qu'il vient d'un autre pays
- S'il vient d'un autre pays, précisez les moyens (visa ?) pour y arriver.)




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