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NC18 - Contient de la violence et de l'érotisme

2032, le visage de Chicago a bien changé... Et celui de la communauté thérianthropique également...
 
Nous sommes en avril 2032, l’hiver se termine enfin sur Chicago et après des neiges et des gelées
quelques peu excessives, le soleil commence à pointer le bout de son nez ! Il ne fait pas encore très
chaud et il faut donc continuer à se couvrir pour sortir, mais les rayons viennent redonner meilleure
mine à la ville et les gens viennent de nouveau se poser en terrasse pour prendre un café !
Les clans ne peuvent que constater la nette augmentation des disparitions. Les Bastardos quant à eux
s’énervent encore un peu plus sur le fait que quelqu’un vient vendre de la marchandise qui n’est pas
la leur sur leur territoire (même si tous les territoires restent touchés) et les esprits s’échauffent
de ne pas arriver à trouver qui sont les coupables !
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A good man is hard to find [Terminé]
Gabriel Goodman
A good man is hard to find [Terminé] Hcuh
Race : Singe e_ê
Masculin
Dominance : On ne demande pas ça à un jeune homme de bonne famille, voyons.
Humeur : Tranquille
Emploi : Psychologue
Localisation : Dans sa tasse de café
Messages : 64
Points rp : 80
Homme-Singe
Homme-Singe
Gabriel Goodman

Gabriel Goodman


Prénom : Gabriel
Nom : Goodman
Surnom :Blanche-Neige, Face de craie, Blanc-Bec, Mister Freeze.
Date de naissance : 26 Décembre 2004
Âge : 27 ans
Sexe : Homme
Origines : /
Nationalité : Américaine
Orientation sexuelle : Se dit hétérosexuel
Emploi : Psychologue Criminologue, depuis peu « profiler » missionné par la police, au besoin. Il ne fait pas partie de la police à proprement parlé, mais il travaille en collaboration.
Groupe : Police.  
Ascendances : Singe


Identification


Goûts :
Difficile de dire ce que Gabriel Goodman aime. Mystérieux, il dira simplement qu'il y a peu de choses qu'il déteste. Au final, il a une préférence marquée pour le café noir, son côté précieux va avec son goût pour les beaux vêtements. Il apprécie la chasse, et manier les armes à feu, cela lui octroie un sentiment de sécurité. Il apprécie la lecture, il aime se lever tôt et se coucher tard. Cela fait partie des choses que le "commun des mortels" peut savoir de lui. Le fond, Gabriel le cache : par exemple, la domination fait partie de ses petits vices cachés. Il a un faible pour les femmes avec des formes, et sophistiquées, alors qu’il aime prendre l’ascendant sur les hommes.


Caractère :
Goodman-père dit toujours de son fils qu'il manque de caractère, tout en dissimulant sa déception quant à son refus de reprendre l'entreprise familiale. Il s'oppose à Goodman-mère qui prétend qu'au contraire, il est l'être le plus intelligent qu'elle ait connu. Contrairement à son frère, Michael aujourd'hui disparu : il était incroyablement chiant. Pour Monsieur Armand, son ancien patron, Gabriel est doté d'une fine intelligence, coupé à un joli minois. Quant à Monsieur Hare, l'un de ses professeurs d'université, Gabriel n'est pas taillé pour ce travail, comme si le fossé entre son monde et celui de la plèbe le rendait trop fragile.  Et enfin, ses deux petites amies officielles se plaignent encore de son absence de sentiments, alors qu'il s'est toujours montré irréprochable avec elles.

Gabriel ne montre aux autres que ce qu'ils veulent bien voir de lui. Imperturbable, il est rare de le voir perdre son sang-froid ; ses amis les plus proches clament haut et fort que cela n'est jamais arrivé. Rien ne semble le passionner, si ce n'est un peu de lecture autour d'une tasse de café. Patient, il prête volontiers une oreille attentive, au-delà de son travail à ceux qui en ont besoin. Il est lisse et doux, sans aspérité, d'un caractère en apparence docile et tranquille. Il sourit en permanence, en coin, avec une douceur qui ne fait que polir son corps délicat. Il porte son prénom à merveille.

En vérité, le jeune Goodman ne s'attache pas vraiment aux gens. Il préfère collectionner les aventures avec les jolies femmes - souvent plus âgées que lui - qu'une relation longue, et qui finira par le lasser. Il peut apprécier son entourage, mais il ne sait pas réellement aimer. C'est un intellectuel avant tout, il réfléchit, il digère une quantité surprenante d'informations au quotidien. Il a - semblerait-il - un don pour comprendre autrui, surtout lorsque cela le concerne. Il sait se plier à ce qu'on attend de lui, le petit fils à papa trop propre sur lui, ou bien le psychologue de bons conseils ? Il peut porter les deux masques. Il est fasciné par les êtres humains, et leur capacité à ressentir avec violence des émotions qui lui paraissent si lointaines.

Avec les femmes, Gabriel montre un peu de passion, quoiqu'il ne se lâche jamais réellement. Avec les hommes, c'est différent ; il ne se sent pas vraiment en sécurité avec eux. Il n'aime pas être une proie, si bien qu'il a mis en place plusieurs mécanismes de défense pour se protéger. Il ne reconnait pas la peur, il lui préfère la colère. Il ne connait pas le chagrin, il préfère l'amertume du café. Sa qualité est aussi son pire défaut, sa capacité d'écoute fait qu'il oublie de s'écouter réellement. Gabriel ne se confie jamais, apparaissant comme un petit blanc-bec inaccessible par moment. Il ne dit jamais vraiment ce qu'il pense, et pour obtenir quelque chose de différent de sa personnalité de surface, il faudra jouir d'une certaine intimité avec lui.

On a beau essayer de porter le masque de la perfection, on ne l'est jamais réellement. Gabriel est souvent cynique, parfois mesquin ; il a la rancune tenace. Son frère lui a une fois cassé son jouet ? Il s'est débrouillé pour que Mère se débarrasse de son chat. On lui pique sa place de parking ? Il rajoutera du sel dans le café. Difficile dès lors de savoir ce à quoi Gabriel pense réellement des autres.

Comment peut-on prétendre percer l'âme lorsqu'on ne possède pas de coeur soi-même ?


Physique :
Pièce unique, éclot depuis le ventre de sa mère, Gabriel est une statue blanche et délicate. Un visage doux, des yeux bleus et intenses, des mains maigres et longues, une silhouette élancée, un sourire au coin indéchiffrable. Statue de marbre angélique, peau aussi blanche que de la craie, frêle et puissant à la fois. Voix posée, contact glacé. Semble-t-il réel ? Ou bien est-il l'idéal d'un peintre sorti de son tableau ? Là tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Des cheveux blonds bien entretenus, jamais rebelles, toujours disciplinés. Une tenue impeccable, sans jamais de pli — quelle horreur de paraître mal habillé ! —, une contenance dans les gestes et la voix, même lorsqu'on le rabaisse. Beau ? Il l'est. Charmant ? Pour sûr !

Gabriel prend soin de son apparence, il sait que cela fait partie de ses atouts. Malgré tout, il essaye de vivre avec les défauts que son visage de poupon lui donne. Il a beau avoir vingt-sept ans, il parait plus jeune ; il lui arrive souvent de devoir présenter sa pièce d'identité lorsqu'il sort en boîte de nuit, par exemple. Il sait aussi que pour certaines femmes, il ne correspond pas à l'idéal de virilité sur lequel l'Amérique s'est construite. C'est avec beaucoup d'agacement qu'il n'a jamais atteint le mètre quatre-vingt, et de peu ! Le jeune homme mesure exactement 178,8 centimètres, une petite facétie de la nature dont il se passerait bien. Il fait soixante-cinq kilogrammes, parfois moins, selon les périodes ; il ne prend jamais de réel plaisir à manger, après tout.

Depuis ses dix-huit ans, il fait mine de se raser, en espérant voir un début de barbe pousser le long de sa mâchoire. Il porte un parfum légèrement musqué, et il fait attention à la blancheur de sa peau. Il est rare de le voir sans une chemise, un peu cintrée et rentrée dans un pantalon noir. Sa peau est soignée, mais il a le contact froid, dû à une petite tension. S'il respire le calme et l'harmonie, certains le trouveront trop fragile, ses allures d'éphèbe lui ont porté préjudice dans le passé. Son père lui a toujours rabâché que son manque de virilité encourageait les autres à ne pas le respecter, il manquerait de poigne. Il lui arrive de se faire moquer, lorsqu'il annonce son âge. Son petit côté précieux à toujours veiller à ce que sa tenue soit parfaite encourage ce sentiment.

Ses cheveux blonds, impeccablement peignés, renforcent l'aspect de pureté à corrompre qu'il renvoie bien malgré lui. D'autant qu'il semble un peu coincé, avec ses cravates, et ses chemises toujours repassées. Il fait très attention à son apparence, et jamais il n'avouera qu'un jour, il espère avoir de la barbe.


Révélations


Histoire :
L'on pourrait dire que Gabriel Goodman a toujours vécu dans une cage dorée. Benjamain d'une famille au porte-monnaie plus que bien portant, il a longtemps vécu dans l'ombre de son frère. Michael était brun, un peu tassé sur lui, et à cracher sur Père et Mère pour aller à des concerts de Metal, lorsque Gabriel était blond et docile. L'ombre et la lumière. Pour autant, ils n'ont jamais été proches, si ce n'était lorsque le plus jeune parvenait à s'approprier ce que l'aîné gagnait malgré lui. Michael tomba amoureux à seize ans d'une camarade de classe ? Eh bien, Gabriel fit sa première fois avec elle, alors qu'il n'avait que quatorze ans. Son frère n'en su jamais, et vit sa belle s'éloigner de lui sans être capable de mettre des mots dessus. Les choses continuèrent longtemps ainsi, jusqu'à ce que Michael, ployant sous le poids d'une éducation toxique, interdisant aux hommes le moindre état d'âme s'en alla. Michael avait toujours été le feu, Gabriel la glace. Lorsque Michael se blessait, toute la maison était mise au courant, alors que Gabriel s'entraînait à camoufler ses émotions. Lors des repas ennuyeux, son petit jeu était d'enfoncer une fourchette dans sa cuisse, sans se crisper, sans que personne ne devine ce qu'il en était. Apprendre à cacher ce que l'on ressent, afin de ne pas se faire traiter de fillette par Père.

La famille Goodman ne sut jamais exactement ce qui poussa Michael à fuguer. La disparition d'un de ses amis proches, un soir, alors qu'il rentrait chez lui après l'école. Un meurtre sanglant, aux portées racistes, disait-on. L'un des rares Afro-Américains faisant partie d'une école bourgeoise, que Gabriel avait vu le soir de l'homicide. Habitué à le croiser à la maison, au détriment de ses parents, il n'avait rien pensé de spécial devant la nouvelle. Il avait vu son frère pleurer, il avait vu son frère être détruit par la nouvelle. Il l'avait entendu se disputer avec Père de longues heures, qui jugeait que l'aîné faisait bien trop de sensiblerie, et qu'il devait cesser de s'attacher aux espèces inférieures. Cela n'avait rien à faire chez lui.

Michael claqua la porte, et personne ne sut ce qu'il devint. Gabriel avait quinze ans.

L'éducation de Gabriel était basée sur le mépris de l'autre. Mépris des espèces et des classes, mépris des couleurs. En grandissant, il apprit à s'en détacher, mais on ne se défait pas facilement d'une telle éducation. Il comprit vite que l'intolérance dans laquelle il avait nagé, étouffé dans son amertume avant de voir ce qu'il en était pour de vrai, n'était pas quelque chose de tolérable. Une honte de plus à dissimuler, comme la disparition de son frère, basé sur une dispute qu'il juge encore aujourd'hui immature. Dès lors, Gabriel devint le centre des attentions de ses parents, son père qui jusque là ne faisait que mettre en avant son apparence fragile, lui avoua qu'il le verrait bien reprendre les reines de l'entreprise. On se la passait de génération en génération, un cadeau empoisonné au citron, de père en fils. Des produits vaisselles que l'un de leurs ancêtres avait élaboré au cours du XIXe siècle, et qui avait battit son empire sur de l'eau savonneuse, qui rendait tout plus blanc que blanc, y compris sa descendance, et certains chapeaux pointus.

Gabriel refusa.

Malgré les nombreuses disputes que cela fit éclater chez lui, il refusa. Depuis toujours, le jeune homme était fasciné par les êtres humains. Il savait qu'en modulant d'une certaine façon sa voix, il pouvait obtenir certaines choses, qu'en souriant poliment et en faisant preuve d'affabilité, on lui faisait naturellement confiance. Son père fut forcé d'accepter, lorsqu'il partit à l'université étudier la psychologie, après avoir terminé son cursus avec des notes plus que brillantes. Sa mère l'y encourageait, elle pensait voir son fils s'épanouir enfin, lui qui avait toujours été discret jusqu'ici. Elle avait cru dans un premier temps qu'il deviendrait artiste, elle l'avait inscrit à des cours d'art, et quoiqu'il savait manier le crayon et le pinceau, ses professeurs avaient été clairs : c'était vide, et impersonnel.

Peut-être que c'était ce qu'il fallait pour devenir psychologue. L'un de ses professeurs, Monsieur Hare le prit vite en grippe, disant que sa personnalité de façade sciait bien à la profession de plante verte qu'il se promettait. Il profitait de la moindre occasion pour le tacler, il lui envoyait tout un tas de piques, sans que jamais Gabriel ne cesse de sourire. Parfois, l'étudiant répliquait, montrant qu'il savait faire claquer sa verve comme le fouet. Hare le vit évoluer, et malgré tout ce qu'il aurait aimé voir, Goodman ne chuta pas. Il continua ses études avec brio, si bien que Hare dû ravaler une partie de son agacement, et reconnaître qu'il était bon.

En dernière année de licence, alors âgé de vingt-et-un ans, l'un des amis de son père lui proposa un premier stage au sein de sa banque, en tant que psychologue du travail. Monsieur Armand était un homme aussi charismatique que beau, aussi brun et chaud que Gabriel était blond et froid. Vieil ami de son père, il avait deux fils de quelques années plus jeunes que lui. Il l'avait souvent rencontré, lorsque son père faisait des parties de golf, dans diverses soirées aussi pompeuses et ennuyeuses qu'un enterrement, où la plupart du temps, les gens se vantent de s'inquiéter du sort des pauvres plus que de réellement agir. Depuis que Gabriel avait dix-sept ans, Monsieur Armand lui avait témoigné un vif intérêt, il discutait davantage de tout avec lui qu'avec son propre père. Gabriel y resta deux mois sur un stage qui aurait dû en durer cinq.

Au début, ces quelques effleurements dans le bas de son dos, ce n'était rien d'autre des accidents, avait-il songé. Ces regards, ensuite, portés sur lui comme s'il s'agissait d'une proie, ce n'était que son imagination, non ? Gabriel s'était forcé de croire tout cela. Mais un jour, Monsieur Armand, cet homme qu'il admirait depuis l'adolescence pour sa prestance, et son charisme, lui ordonna de monter dans son bureau. Ils avaient discuté longtemps, de son stage. Armand lui avait demandé de se mettre à son bureau, il s'était exécuté. Il le sentait dans son dos, sa chaleur, il le sentait observer depuis la baie vitrée donnant sur Gold Coast Historic District, où il devait se sentir comme un dieu à contempler la marée humaine grouiller sous son oeil. Malgré son âge, Monsieur Armand continuait de l'appeler « mon garçon », si bien qu'il ponctuait chaque phrase de ce « mon garçon » d'une voix grave et profonde. Il se tourna derrière lui, il se pencha dans son dos en appuyant sa main près de sa tasse de café. Gabriel se tendit, mais aucune émotion ne traversa son visage. Ni la peur, ni le dégoût, rien.

Alors qu'il tremblait de tout son être.

Le jeune homme donna sa démission le lendemain, la boule au ventre, sans expliquer quoi que ce soit. Ni à ses collègues ni à son père qui se trouva furieux contre lui. Gabriel détestait sentir qu'il était une proie, aux yeux des hommes.

Gabriel revint alors à ce qui avait lancé son intérêt pour la psychologie, comprendre les gens, mais pas n'importe qui. Peut-être qu'il se trouvait un peu proche de ces gens-là : la criminologie l'avait toujours fasciné. Son esprit avait besoin d'analyser et de décortiquer les monstres, qui défrayaient autant la chronique. Si son père resta furieux de la démission soudaine de son stage, il fut forcé d'admettre que sa nouvelle « vocation » était intéressante, et puis cela faisait bien dans les dîners mondains. Gabriel termina ses études, redoublant d'acharnement pour parvenir à terminer son doctorat, et se faire engager en tant que psychologue criminologue. Il passa d'abord des tests d'aptitudes, il eut plusieurs entretiens avec des psychiatres pour déterminer s'il pouvait être engagé. Deux ans plus tard, à vingt-sept ans, Gabriel termine une formation au sein de la police pour devenir profiler. Il apprend sur le tas,, baignant dans l'excès de testostérone, la paperasse et les criminels. Et étrangement, il se sent plus à l'aise avec les criminels qu'avec les hommes de pouvoir.

Ambitieux, derrière son calme, son masque délicat, il observe, l'oeil avisé, ces coeurs que l'on dit putrides.


Informations


Autre chose : Je m’excuse des maladresses qu’il peut y avoir dans la fiche, je reprends un vieux perso que j’appréciais pour l’adapter ici @_@
As-tu bien lu le règlement? : Je pense que oui.
Comment as-tu découvert ce forum? : Il s’avère qu’il est partenaire avec trois forums sur lesquels je suis.
C'est quoi ton avatar ? : Johan Liebert de Monster
As-tu lu les manga Love Pistols ? : Non.
Regardé les OAVs ? : Il m’est arrivé d’en regarder.
Changerais-tu quelque chose? : Nop ! :)
Sam 4 Jan - 17:00
https://chicagospulsions.forumactif.com/t368-a-good-man-is-hard-to-find-termine# https://chicagospulsions.forumactif.com/t374-une-mer-calme-n-a-jamais-fait-un-bon-marin https://chicagospulsions.forumactif.com/t375-recapitulons
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Luce Farfarelli
A good man is hard to find [Terminé] Lupus10
Race : Canidé - Loup d'Italie - Moyen Gabarit
Féminin
Dominance : Ambivalente, métier oblige aussi
Emploi : Prostituée au The Guest
Messages : 89
Points rp : 109
Canidé
Canidé
Luce Farfarelli
Bienvenue parmi nous ! J'espère que tu te plaira ! *lance des cotillons* A good man is hard to find [Terminé] 2221184130
Sam 4 Jan - 21:48
https://chicagospulsions.forumactif.com/t67-mama-knows-best-luce https://chicagospulsions.forumactif.com/t222-la-meute-d-une-louve-liens-de-luce https://chicagospulsions.forumactif.com/t223-te-suivre-a-pas-de-loup-luce
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Gabriel Goodman
A good man is hard to find [Terminé] Hcuh
Race : Singe e_ê
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Dominance : On ne demande pas ça à un jeune homme de bonne famille, voyons.
Humeur : Tranquille
Emploi : Psychologue
Localisation : Dans sa tasse de café
Messages : 64
Points rp : 80
Homme-Singe
Homme-Singe
Gabriel Goodman
Merci bien : )
Sam 4 Jan - 22:10
https://chicagospulsions.forumactif.com/t368-a-good-man-is-hard-to-find-termine# https://chicagospulsions.forumactif.com/t374-une-mer-calme-n-a-jamais-fait-un-bon-marin https://chicagospulsions.forumactif.com/t375-recapitulons
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Game Master
A good man is hard to find [Terminé] J7v1
Race : PNJ - Maître du jeu
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Messages : 502
Points rp : 8
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Game Master
C'est bon, tu es validé. ~


Tu es validé(e).

A présent tu peux aller faire un tour sur le forum pour faire ta fiche de liens, si l'envie t'en dit, puis ta fiche de RPs, qui te permettra de savoir quels rps sont en cours ou finis ou abandonnés etc.
Tu pourras également allé voir les demandes de RPs pour débuter ton aventure sur le forum et pense aussi à faire une demande de logement si tu ne veux pas dormir à la rue~
Lun 6 Jan - 23:07
http://love-pistolsv2.forumactif.com/t30-les-fiches-exemples http://love-pistolsv2.forumactif.com/t22-l-exemple-de-fiche-de-liens http://love-pistolsv2.forumactif.com/t23-l-exemple-de-fiche-de-rps
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