Prénom : Letty Nom : Jablonsky Surnom : / Date de naissance : 21 décembre 2000 Âge : 31 ans Sexe : Femme Origines :  Père d'origine russe, mère d'origine irlandaise, tous deux immigrés aux Etats Unis étant jeunes Nationalité : Américaine Orientation sexuelle : Homo Emploi : Agent de police infiltrée au The Guest, actuellement videuse, mais qui a bien l'intention de devenir la garde personnelle de la gérante Groupe : Chicago Police Department Race : Ours petit gabarit - martre des pins boréale (Martes martes borealis)

Goûts : Malgré le handicap de son petit gabarit, Letty a toujours aimé les sports de combat, et plus particulièrement l'aïkido. Sa vivacité fait d'elle un adversaire redoutable, contre lequel une personne non entraînée aura du mal à triompher. Elle apprécie tout particulièrement dominer un homme trop confiant en sa force une fois qu'elle l'a mis par terre en quelques secondes. Les simples plaisirs de la vie. C'est d'ailleurs cette assiduité au combat qui lui a permis de passer les tests de la police sans trop d'effort, puis d'être "engagée" en tant que videuse dans les clubs de la famille Nowakowski. Elle fait d'ailleurs tâche à côté des armoires à glace de ces établissements. Surtout qu'en plus de l'aïkido, la demoiselle apprécie également un peu de parkour, qu'elle pratique avec d'autres ayant la même passion. A l'image de son animal qui grimpe aux arbres, escalader les immeubles lui procure une joie intense, vraie.
Une autre passion qui, pourrait-on le croire, ne va pas du tout avec son goût des sports de combat, c'est l'histoire de son pays. Pas celle des colons, mais celle d'avant. Celle des peuples qui vivaient sur ces terres bien avant les européens. Elle s'est prise d'une fascination étrange pour les cultures et les façons de vivre de ses peuples autochtones, à tel point qu'elle a adopté certaines de leurs philosophies, ou leurs croyances. Beaucoup la prennent pour une imbécile, se moquent d'elle, mais une chose qu'on peut dire de Letty, c'est que maintenant, il en faudra beaucoup plus pour l'atteindre.
Avec sa passion de l'Histoire, vient celle des livres en général. Il n'est pas rare d'ailleurs de la voir installée confortablement au sommet d'un immeuble, les pieds dans le vide, un livre dans les mains. C'est l'endroit où elle se sent le plus à l'aise pour lire, et surtout l'endroit où elle sait que peu viendront l'embêter.

Caractère : D'un petit gabarit, on pourrait attendre une certaine forme de soumission et d'obéissance vis à vis des gros gabarit. Letty n'a jamais voulu se plier à cette règle. Elle aime sa liberté, et n'hésitera pas à dire ses quatre vérités si elle n'a pas envie de faire ce qu'on lui demande. Il y a un certain sens de justice dans ses actions, elle se battra contre les injustices, mais laissera passer une punition si elle pense que c'est mérité. Son insolence lui a d'ailleurs valu quelques ennuis lors de son séjour à l'école de police. N'ayant strictement aucun sens de ce qui est politiquement correcte, sa franchise et son impulsivité ont réellement été un problème tout au long de sa vie. Mais c'est également ce qui lui a valu d'être à la place qu'elle occupe actuellement.
Malgré son côté très rebelle, elle est capable de montrer une tout autre facette d'elle même quand on ne la titille pas trop. Elle est très observatrice vis à vis de son environnement et des gens qui l'entoure, quitte à rester silencieuse et passer pour la folle de service. Pour elle, tout ce qu'elle peut apprendre, que ça soit par l'observation ou dans les livres ou internet, est une arme qu'elle pourra possiblement utiliser un jour. Par conséquent elle a développé une capacité d'analyse et une mémoire assez exceptionnelle, un autre trait de caractère qui lui a fait décrocher son job actuel. Elle est  calculatrice et vive d'esprit, et n'aura pas beaucoup de remords à tirer partit d'une situation pour la tourner à son avantage, mais seulement si elle n'a aucun sentiment envers la personne lésée.
A contrario, Letty sait aussi faire preuve d'une certaine compassion pour ceux qui en ont besoin. Elle n'hésite pas à donner quelques pièces aux gens dans la rue, à défendre ceux qui en auraient besoin. C'est aussi pour ça qu'elle a choisi la police malgré son apparent mauvais caractère.

Physique : Letty vient d'un métissage assez atypique. Ses deux parents sont entré aux Etats Unis à un très jeune âge, venant respectivement d'Irlande et de Russie. Son père est né avec des cheveux très blonds, sa mère hérita d'un pure roux typique de son pays. Le mélange des deux donna à Letty une couleur de cheveux roux tirant sur le cuivré, plus quelques reflets dorés au soleil. Elle garda de sa mère ses yeux verts et ses tâches de rousseur, et de son père, sa silhouette athlétique.
Parce que oui, la demoiselle entretient bien son corps. Ses muscles sont finement dessinés par les années d'entrainement et de parkour, qu'elle exerce avec brio malgré son petit mètre 65. On pourrait presque la sous-estimer au vu de sa taille pas si grande que ça doublé de son petit gabarit, mais elle est clairement à prendre au sérieux. Concrètement, Letty n'est pas un canon de beauté comme on l'entend dans les publicités. Elle n'est pas si grande que ça, sans être petite pour autant, elle est rousse, a des tâches de rousseurs, de petits seins, et pour ainsi dire, pas beaucoup de formes "féminines". Elle pourrait aisément se faire passer pour un homme avec quelques vêtements larges.
Ses cheveux, parlons en ! Ils sont pour elle un moyen d'exprimer sa créativité, et heureusement qu'ils sont plus qu'épais. En queue, en tresses, attachés ou non, elle aime varier et se fait souvent dévisager dans la rue pour ça. Une chose qui ne changera pas cependant, sont les quatre dreads qu'elle s'est fait à la base du coup, et dans lesquelles elle a tressé des fils de couleurs, conformément à d'anciennes traditions amérindiennes.
Côté vêtements, elle choisira le confortable plutôt que le chic et beau, comme ce que la majorité peut attendre d'une femme. Elle aime les vêtements de sport et la capacité qu'ils lui donnent à pouvoir librement bouger dedans, mais également les pantalons très larges, ou les vestes ouvertes. Il n'y a presque que les débardeurs ou tee-shirts qu'elle supporte près du corps, ce qui lui donne un air très sixties.
Adepte des tatouages, Letty en a fait plusieurs : une petite martre stylisée derrière la nuque pour son appartenance thérianthropique, ou un avant bras gauche entièrement recouvert d'oiseaux, allant du rapace au moineau, en passant par quelques corvidés et chouettes, le tout relié par des entrelacs végétaux. Elle a également fait faire une composition toute en symbolique amérindienne sur toute la longueur de sa colonne vertébrale. Son épaule droite porte un glouton et une loutre entrelacés. L'ensemble de ses tatouages sont en noir et blanc, n'étant pas du tout fan des couleurs qui vieillissent beaucoup trop vite.





Histoire : Letty est née de deux parents qui, si l’on en croit n’importe quelle statistique, n’auraient jamais dû se rencontrer. D’un côté, sa mère qui pendant sa jeunesse pensait passer le reste de sa vie à observer l’immense diversité d’oiseaux d’Irlande dû faire face au décès de ses deux parents dans un accident de voiture, puis le changement complet de pays après avoir été adoptée par son oncle et sa femme aux Etats Unis, la seule famille qui lui restait. La loutre d’Europe petit gabarit qu’elle était fit son possible pour s’adapter, et après quelques années difficiles, fut capable d’entrer en études supérieures et entamer son apprentissage de l’ornithologie. De l’autre côté, son père, 7 ans à l’époque, suivi ses propres parents et grands parents aux US. Ces derniers avaient mis toutes leurs économies dans les billets de train puis de bateau dans l’espoir d’entamer une vie meilleure dans le pays du rêve américain. La désillusion fut totale ; le jeune enfant aux étoiles pleins les yeux disparu pour laisser apparaître un jeune homme aigri et désabusé, obligé de travailler comme livreur de jour, et free-fighter de nuit. Il participait à des combats réservés aux thérianthropes, pour des thérianthropes, et son ascendance glouton moyen gabarit lui donnait un certain avantage de vivacité et pugnacité sur ses adversaires. Rien n’aurait pu destiner ces deux-là à se rencontrer, et pourtant, le hasard a décidé de les faire se rencontrer une après-midi d’automne, alors que l’un livrait à vélo, et l’autre marchait le nez dans son livre, d’une façon assez fracassante. Six ans plus tard naissait Letty, la plus belle chose qui leur soit arrivée à tous les deux.

La suite n’a rien d’un conte malheureusement. Malgré les disputes régulières de ses parents, les deux faisaient tout leur possible pour assurer le bonheur de Letty. Elle ne sut que bien plus tard ce qu’on lui avait caché. Malgré le bon salaire d’ornithologue de sa mère, son père continuait les combats la nuit. Ses propres parents n’avaient pas pu s’adapter au rythme de vie américain, et s’étaient cruellement endettés pour couvrir le coût de la vie. Le salaire de la mère de Letty ne suffisait pas pour faire vivre deux familles, et les combats de rue étaient le moyen le plus efficace qu’il connaissait pour gagner de l’argent vite et en suffisante quantité. Cependant, l’âge, couplé à l’arrivée de nouveaux combattants avides d’argent plus ou moins facile, eut raison de lui. Après quelques défaites, il fut rapidement mis à la porte par l’organisateur des combats. Au pied du mur, ne voulant pas mettre sa femme et sa fille en difficulté, il se résolu à emprunter lui-même de l’argent pour aider ses parents. Une mauvaise décision en entraînant une autre, il finit par devoir faire la mule à transférer des sachets de drogues d’un quartier à un autre pour rembourser ses dettes. Evidemment, sa femme ne fut pas dupe de son manège, et malgré tout son amour pour lui et toute l’aide qu’elle a essayé de lui apporter, sa priorité restait sa fille. Letty n’avait que 9 ans le jour ils divorcèrent. Quelques années plus tard, son père se fit prendre par la police, et écopa de quinze ans de prison pour trafic de drogue.

De cette enfance qui peut paraître mouvementée, Letty n’en garde pas un mauvais souvenir. Son père a fait de mauvais choix, mais n’était pas une mauvaise personne. Au contraire, elle se souvient encore du début d’apprentissage de contrôle de son aura de petite martre qu'elle avait hérité de sa grand mère maternelle, à rire de ses petites oreilles rondes, alors que son père la chatouillait allégrement. Elle n’oubliera pas non plus leurs faux combats sur une mer d’oreillers. C’est aussi à cause de tous ces bons souvenirs qu’elle n’a jamais vraiment comprit pourquoi son père était en prison ni pourquoi sa mère avait décidé de l’abandonner. Sa mère qui d’ailleurs a tout fait pour la protéger de tout ce qui se passait. Elle lui racontait toute sorte de légendes, de faits sur les oiseaux, ou encore de récits historiques. La curiosité naturelle de Letty la fit s’intéresser énormément aux contes amérindiens, puis plus tard à leur culture et façon de vivre.

Ce qui arriva à son père fut d’ailleurs un facteur déterminant dans son envie d’entrer dans la police. Dans son esprit d’enfant, elle pourrait arrêter les méchants et sauver son père. Dans son esprit d’adolescente, elle pourrait empêcher d’autres personnes de payer pour les vrais malfaiteurs. Dans son esprit d’adulte, elle souhaitait juste bien faire son boulot et ramener un peu de sécurité dans les quartiers de la ville. Ses années au collège et lycée furent assez mouvementées ; l’adolescente qu’elle était devenue firent ressortir son côté têtu, et sa mère eu beaucoup de mal à gérer la colère qu’elle avait contre le monde entier pour se qui était arrivé à son père. C’est à ce moment là qu’elle commença à se défouler physiquement en allant courir sur les toits, bien évidemment, sans que sa mère ne soit au courant. Cette dernière pensait d’ailleurs que c’étaient les cours d’aïkido qui canalisaient sa fureur, plutôt que des séances de parkour. C’est également à cette période qu’elle découvrit son attirance pour la gente féminine, une orientation qui fut plutôt bien accueillie par sa mère.

Son entrée en école de police fut un peu plus compliquée. En effet, il ne fallut pas longtemps aux autres étudiants pour découvrir que son père était en prison, et la marginaliser à cause de ça. Ajouté à ça sa tendance à la rébellion, il ne fallut pas longtemps pour qu’elle soit classée en élément perturbateur. Cependant, ses très bons résultats, aussi bien théoriques que pratiques, lui assuraient de rester dans l’école. C’est pour toutes ces raisons que vers la fin de ses études quelques hauts gradés vinrent la voir pour lui proposer un travail ingrat : infiltrer une organisation criminelle. Cependant, pour que son recrutement soit convainquant, il fallait qu'elle se fasse renvoyer de l'école de police pour faute grave afin que ladite organisation ne suspecte pas le fait qu'elle soit infiltrée. Il lui fallu trois jours de réflexions pour qu’elle retourne les voir en acceptant leur proposition, et qu'elle soit "officiellement" jetée de la police.

Se faire engager comme videuse dans l’une des maisons closes les plus active de la ville ne fut au final pas si compliqué que ça. Letty se disputait le poste avec deux autres hommes, des grosses brutes sans cervelle, et elle nota bien que la gérante était assez intriguée par sa candidature. Après tout, ça ne devait pas être souvent qu’elle recevait une petite jeune femme pour postuler à ce genre de poste. Cependant, sa maîtrise de l’aïkido, et le fait qu’elle sache parler russe, étaient certainement ce qui avait fait pencher la balance en sa faveur. Ça et la curiosité de la gérante.

Les premiers mois à travailler furent assez compliqué pour Letty. Elle devait faire ses preuves dans une organisation criminelle, au milieu de vieux saoulards, et de femmes obligées de vendre leurs corps, ce n’était pas une partie de plaisir tous les jours. Heureusement, son physique atypique pour ce genre de travail, et la promptitude et efficacité dont elle faisait preuve pour défendre les prostitués fit rapidement d’elle un genre de mascotte parmi les employés. Elle n’hésitait pas à en venir aux poings quand un client se faisait trop insistant, et avec son franc-parler, elle n’eut pas trop de mal à obtenir la confiance des employées. Ce qui lui était grandement profitable pour son véritable métier. Après tout, qui ne mieux qu’une prostituée pour recueillir les confidences des clients ?

Restait le « problème » Anna Nowakowski. La gérante était visiblement agacée par son comportement, mais ses bons résultats et son entrain à protéger l’établissement la sauvait à chaque fois d’être jetée à la porte. Letty avait une certaine attirance pour la femme, elle ne pouvait pas le nier, après tout, cette dernière était incroyablement charismatique. Pendant cinq ans elle avait manœuvré pour se retrouver dans les bonnes grâces des employés, et surtout de la famille mafieuse, prouvant à tous qu’elle pouvait être digne de confiance et exécutant quelques missions en plus de son devoir de protection, comme aller menacer un mauvais payeur, ou justement retrouver et faire payer un client dont la main a été un peu trop lourde. Son objectif à présent était d’évoluer comme protectrice personnelle de la gérante, et avoir ainsi accès à une bonne partie des secrets de la famille mafieuse, ce qui serait un grand plus pour la police de Chicago. Elle ne doutait pas que d’ici peu elle pourrait enfin arriver à ses fins.




Autre chose : Pas forcément l'occasion d'écrire souvent malheureusement. :/
As-tu bien lu le règlement? : Yep !
Comment as-tu découvert ce forum? : Via l'ancien forum Love Pistols.
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As-tu lu les manga Love Pistols ? : Oui.
Regardé les OAVs ? : Aussi, même si je ne m'en souviens plus forcément bien.
Changerais-tu quelque chose? : Nope.