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NC18 - Contient de la violence et de l'érotisme

2032, le visage de Chicago a bien changé... Et celui de la communauté thérianthropique également...
 
Nous sommes en avril 2032, l’hiver se termine enfin sur Chicago et après des neiges et des gelées
quelques peu excessives, le soleil commence à pointer le bout de son nez ! Il ne fait pas encore très
chaud et il faut donc continuer à se couvrir pour sortir, mais les rayons viennent redonner meilleure
mine à la ville et les gens viennent de nouveau se poser en terrasse pour prendre un café !
Les clans ne peuvent que constater la nette augmentation des disparitions. Les Bastardos quant à eux
s’énervent encore un peu plus sur le fait que quelqu’un vient vendre de la marchandise qui n’est pas
la leur sur leur territoire (même si tous les territoires restent touchés) et les esprits s’échauffent
de ne pas arriver à trouver qui sont les coupables !
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R O R Y ♦ I'm not a good dog !
Rory Jefferson
R O R Y ♦ I'm not a good dog ! Ju5b
Race : Canidé - Amstaff bleu - Petit gabarit
Féminin
Dominance : Baguettes chinoises 8)
Humeur : Bordélique
Emploi : Dealeuse des Bastardos, indic' chez les flics
Localisation : DTC
Messages : 219
Points rp : 95
Canidé
Canidé
Rory Jefferson

Rory Jefferson
Marche ou crève.


Prénom : Rory
Nom : Jefferson
Surnom : Ro’ … Quoi qu’évitez quand même. Limite elle préfère quand on l’appelle le shtroumpf colérique.
Date de naissance : 27 septembre, tout comme Samuel Adams. Tu sais pas qui c’est ? Elle non plus… Elle s’intéresse pas vraiment aux philosophes Américains... Elle est de l'année 2012.
Age: : 19 ans, elle a tendance à un peu beaucoup jouer de la fausse carte d'identité pour picoler ! Elle en aura 20 à la fin de l'année, mais c'est toujours pas assez pour picoler tranquillou.
Sexe : C’t une nana. ‘fin.. biologiquement parce que mentalement on y est pas trop !
Origines : Américaine, bien qu’elle a de lointaines origines galloises.
Nationalité : Américaine.
Orientation sexuelle : Elle aime les cactus /OUT Elle aime pas les étiquettes et se qualifiera plus de « queer ». Elle a des périodes où elle sera plus pansexuelle (sa « phase » habituelle) comme parfois elle sera plus hétéro' et à d’autres moments, lesbienne. Ça lui est arrivé d’être skolio’ sur les bords aussi ! Mais la plupart du temps elle s’en fout, c’pas le genre de nana à vouloir absolument sauter sur tout ce qui bouge. Sauf pour sabrer ses relations, mais c'est plus fort qu'elle...
Emploi : C’est une petite dealeuse sans importance travaillant pour le gang des Bastardos, également indic’ de la police.
Groupe : La Padilla Bastarda
Race : Canidé – American Staffordshire Terrier bleu (Canis lupus familiaris) – Petit gabarit

Identification


Goûts : Autant Rory est la personne la plus casse-couille que l’on puisse connaître niveau caractère, autant quand on se penche sur ses goûts, on s’aperçoit que ces derniers sont… Particulièrement banals. Autant pour une thérianthrope canidé, que pour une jeune femme qui n’a pas encore dépassé la vingtaine. Elle ne supporte pas la chaleur. C’est une fille qui a facilement très chaud et qui par conséquent, à tendance à s’habiller de façon légère, même en hiver ! Enfin… N’allez pas croire non plus qu’elle se balade en maillot de bain en plein mois de janvier, mais un simple blouson lui suffit. À la limite, s’il fait vraiment froid elle mettra des mitaines et un keffieh, mais c’est tout. Les bonnets qu’elle met sont plus une parure, que pour un réel intérêt de garder sa chaleur. Nan vraiment, elle déteste la chaleur. Déjà qu’elle a naturellement chaud et que c’est un radiateur sur pattes, lui donnez pas une raison de transpirer comme une sauvage. Après, elle est plus le genre à se balader à poil dans son appartement pour réguler sa température, plutôt que d’éteindre le chauffage. Même si, quand il fallait qu’elle tienne ses comptes et surveille ses factures, c’était ce qu’elle faisait.

Après, qu’elle ne supporte pas la chaleur ne fait pas qu’elle aime le froid pour autant ! Elle aime bien quelques rafraîchissements pour compenser, certes, mais c’est pas non plus une friande de la saison d’hiver ! Le froid, elle s’en fiche surtout et peut s’en accommoder. En partie grâce à sa nature de canidé, mais pas que. Elle a tout simplement un métabolisme qui marche trop bien. C’est également une ado comme les autres, qui passe énormément de temps à traîner devant son ordinateur, que cela soit sur les réseaux sociaux, les forums de discussions, les vidéos de chats ou des jeux en ligne ou non, cela dépend du moment. Mais elle a tendance à vraiment trop passer de temps devant son écran à se griller les neurones, la clope au bec. Au point qu’elle peut y passer la nuit entière et ne pas sortir profiter du beau temps dehors. De toute façon, elle ne sort pas vraiment en journée. Quand elle pointe le nez dehors, c’est pour le boulot ou sortir boire un verre et faire la fête. Parce que pour ça, y a du monde, hein ! Au point de faire jouer les contacts qu’elle avait dans sa ville natale, pour se faire faire une fausse carte d’identité pour aller picoler et sortir en boite ! Mais de façon générale, elle est plutôt casanière, mais pas trop non plus ! Il faut qu’elle sorte décharger les batteries de temps en temps, sinon la soupape lâche.

Car rester enfermer trop longtemps peut vite la faire vriller et tourner tel un lion en cage. Malgré sa glandouille attitude à rester tout le temps sur son ordinateur, c’est une fausse feignasse et elle a besoin de régulièrement se défouler. Et sortir se murger la tronche et un bon moyen de décompresser ! Il a besoin de voir du monde l’animal ! Sinon il déprime très vite… Heureusement qu’elle a son chien pour lui tenir compagnie, sinon elle déprimerait sévère toute seule… Ouais, son chien, c’est tout pour elle. Malgré son peu de patience et le fait qu’étant facilement à vif, elle peut vite péter les plombs et lui gueuler dessus comme c’est pas permis, quand il fait de la merde. Mais jamais elle ne le frappera son chien, elle l’aime trop pour ça et c’est pas comme ça qu’on dresse un animal. Elle-même ayant eu l’impression du souffrir du manque de reconnaissance de ses parents, elle tente de lui donner tout l’amour dont elle est capable et d’essayer de plus le récompenser quand il fait de bonne chose, que de le punir. Même si parfois, c’est plus facile à dire qu’à faire, il faut le reconnaître…

Malgré sa méfiance vis-à-vis des autres, Rory aime le contact des gens, se sociabiliser et ne pas être toute seule. La solitude la rend très vulnérable et elle est facilement capable de déprimer. Alors quand elle rencontre de nouvelles têtes, c’est toujours un plaisir pour elle, une fois qu’elle a réussi à outrepasser sa méfiance ! Par contre, elle ne supporte pas les responsabilités ou quand les choses deviennent beaucoup trop sérieuses. Dans ces cas-là, elle a tendance à se mettre la pression toute seule et à faire de la merde. Que cela soit parce qu’elle panique et perd ses moyens, ou bien parce qu’elle va tenter de fuir ces responsabilités par tous les moyens. C’est pour cela qu’elle a beaucoup de mal à garder des relations stables et solides. Car quand cela devient sérieux, arrivent certaines obligations avec. Des obligations qu’elle a peur de ne pas savoir tenir ou qu’elle n’a tout simplement pas envie de tenir. Alors la meilleure solution, c’est la fuite dans ces cas-là. Souvent avec de l’humour, car malgré sa grande-gueule et son côté fouille-merde, en réalité, elle ne supporte pas les conflits.


Caractère : Rory est un animal sauvage. C’est le genre de nana à vif qui se méfie de tout et de rien et qui peut partir au quart de tour pour une raison obscure que personne ne peut comprendre. Oui, à vif est bien un mot pour la décrire. Extrêmement mal dans sa peau et en quête perpétuelle de reconnaissance, c’est le genre à aboyer fort et à mordre pour avoir un peu de reconnaissance. Elle n’a pas forcément eut une enfance malheureuse loin de là, mais a toujours eu le sentiment que ses parents ne la comprenaient pas. Que personne ne la comprenait. A l’école comme à la maison, c’était la gamine turbulente qui foutait le bordel et poussait les adultes à bout. Au point qu’ils ne savaient plus quoi faire d’autre, que de lui crier inutilement dessus. Mais ce qu’ils n’avaient pas compris, c’est que son comportement était un appel au secours. L’appel d’un enfant incertain, qui ne savait pas trop où était sa place et qui avait besoin qu’on le réconforte. Alors cet enfant teste les barrières de sécurité qu’on lui a posées pour voir si elles sont solides et malheureusement, la perte de sang-froid des parents lui montre qu’ils ont échoués au test. Oui, drôle de façon de faire, mais l’être humain est un animal bien compliqué.

C’est pour cela que la jeune femme peut revêtir plusieurs facettes. Surtout celle de la grande gueule qui aura toujours quelque chose redire. Qui râle pour la forme. Elle est chiante et casse les burnes de beaucoup de monde, la Rory. Mais même avec le temps, elle ne sait toujours pas s’exprimer correctement pour prouver son besoin de soutien. Elle a peur de se dévoiler. Parce que si elle le fait, elle a tendance à facilement se donner complètement aux gens et attend qu’ils fassent de même. Elle idéalise ses relations et cela fini toujours par une immense déception. Du coup, elle a mis un mur entre elle et les autres et ne s’attache que rarement. Trop peur qu’on se moque d’elle, trop peur de passer pour une faible. Et ça, elle ne l’accepte pas. Elle n’est pas vraiment tendre avec elle-même et place parfois la barre trop haute. Avec elle, ça sera soit l’excellence, soit rien. Mais elle n’a pas confiance en elle. Alors elle préfère ne rien tenter et rester dans la médiocrité. Au moins, elle se rassure en se disant que si elle n’y arrive pas, c’est parce qu’elle ne se donne pas l’effort de le faire. Alors que si elle s’y mettait pleinement, mais que par malheur elle échouait, elle serait capable de s’effondrer comme un château de cartes.

Alors elle se protège. C’est bien dommage, car au fond, elle en a des capacités ! Ses parents n’ont cessé de le lui répéter quand elle était gamine, de façon plus ou moins encourageante, plus ou moins exaspérée, quand ils étaient à cours de patience face au cas de leur fille. Elle s’était tellement mise la pression par rapport à son diplôme de fin d’études, qu’elle en était arrivée à un stade où elle avait cessé toutes révisions, pour être sûre d’avoir une bonne excuse pour si elle le ratait. Elle l’avait naturellement raté. Et même avec toute la patience du monde, ses parents avaient eu du mal à rester psychologue sur l’action. Et encore moins quand elle avait décrété que les études n’étaient pas faites pour elle et qu’elle arrêterait donc, sans avoir eu son diplôme de fin de lycée. Elle est comme ça Rory. Tellement exigeante envers elle-même, qu’elle préfère ne rien tenter, plutôt que de se décevoir elle-même si elle n’y arrive pas. C’est un peu le même cas avec ses relations, toutes superficielles. Elle préfère rester à l’écart pour ne pas être blessée si cela en vient à se terminer, plutôt que de vivre pleinement une relation. Amicale ou amoureuse. Mais surtout amoureuse. Elle sabre ses chances elle-même, en allant voir ailleurs, même !

Mais ça ne l’empêche pas de paraître amicale et particulièrement sympathique, quand vous avez réussis à passer outre sa gueule de bouledogue tueur quand elle vous voit pour la première fois et vous regarde avec méfiance. Car elle peut se dérider très vite, une fois mise en confiance -et parfois au bout de trois bières- ! Vous verrez même vite que derrière son masque associable du premier abord, c’est une personne assez égocentrique qui parle facilement d’elle pour tenter de prouver sa valeur aux yeux des autres ! Mais elle n’en reste pas moins une personne marrante et attachante, quoi que légèrement vulgaire sur les bords et qui a du mal à ne pas balancer des blagues graveleuses à tout bout de champ. Un peu lourde, certes, mais pas méchante. Il a juste besoin d’attention, l’animal. Et choquer verbalement est une autre méthode pour tester les barrières de sécurité. Mais vous pouvez très vite la prendre de court en reconnaissant sincèrement sa valeur… Toujours habituée à faire la mariole pour qu’on la remarque et pour étouffer son manque de confiance en elle, elle a très vite l’impression qu’on se fout de sa gueule ou qu’on lui fait des compliments juste pour lui faire plaisir.

Rarement violente avec les autres, elle reste une personne très impulsive, capable de se blesser elle-même ou les autres sur un excès de colère, que ça soit volontairement ou non. Il lui arrivait parfois par le passé de s’automutiler pour se défouler physiquement ainsi que psychologiquement de son mal-être interne, mais elle bien vite cessé après la quinzaine passée et a découvert une échappatoire bien plus classe par le biais des piercings et des tatouages. Rory est une jeune femme avec un trouble de la personnalité limite supposé et il est rare qu’on la compare réellement aux « clichés » du genre. Seules les personnes un peu trop psychologues sur les bords et fan de psychanalyses non-demandées peuvent s’en douter et encore ! Les quelques lignes sur la définition de wikipédia seraient plus du genre à la faire rire et à simplement balancer que ce n’est qu’une coïncidence, plus qu’autre chose. Et puis elle n’aime pas rentrer dans des cases et se laisser définir par un mot. Sans parler qu’avouer ouvertement qu’elle est borderline est pour elle, comme se mettre en avant et ça lui donne l’impression qu’elle se vante intérieurement d’être « spéciale », d’avoir quelque chose de plus que les autres. Et ça, son manque de confiance ne peut pas l’accepter. Alors elle préfère plutôt la thèse de la coïncidence, ça lui semble beaucoup plus crédible.

En résumé, Rory c’est la meuf cheloue toute seule au fond du bar et qui te fait peur parce qu’elle a une tête de tueuse, mais qui se déride dès que la glace est brisée et tu découvres à la place une grande gueule rigolote, qui en fait peut-être un peu trop pour paraître naturelle et qui se la raconte, juste pour cacher son manque de reconnaissance. Le genre de nana que tu vois bien comme un bon pote en soirée avec qui déconner et faire les quatre-cents coups (surtout pour piquer des plots et panneaux de signalisation au retour des bars) mais qui a toujours l’air de prendre tout à la légère, comme si elle cherchait à ne pas trop s’impliquer… Plus tu la connais et plus, effectivement, tu vois qu’elle a une certaine réticence à réellement s’ouvrir aux autres et a plus tendance à s’enfuir grâce à des plaisanteries, plutôt qu’à être sincère et à s’attacher aux autres. Et que quand elle commence effectivement à s’attacher, ça peut être tout ou son contraire : Soit elle mène une relation très forte avec la personne quitte à s’oublier elle-même, soit elle prend peur et fait une bêtise qui va tout détruire. Et malheureusement, c’est souvent la seconde option qui prime.


Physique : De façon générale, l'Américaine ressemble à tout et rien à la fois. Mesurant un mètre soixante-huit, elle ne paraît pas bien épaisse non plus, mais il ne faut pas s'y fier. Il pèse son poids l’animal, avec ses soixante-neuf kilogrammes toute sèche et juste en portant un slip. Ça lui arrive parfois de regarder derrière elle s'il y a pas son clebs qui mettrait pas une patte sur la balance pour lui faire un coup foireux. Mais non. Pourtant elle n’est pas bien épaisse… ‘fin pas tant que ça. Elle a des épaules et, contrairement à pas mal d’autres nana, a des trapèzes assez développés. Probablement dues aux années de waterpolo qu’elle a pu faire par le passé. En revanche, elle a des bras pas bien épais, qui donnent l’impression de pouvoir se casser d’un rien. Elle supporte pas cette sensation et met pas mal de bracelets à la con, tel des poignets de force, une ribambelle d’élastiques multicolores qui ont des formes cheloues quand on les enlève, comme c’était la mode à une époque, ou autre. Elle s’obstine à en mettre toujours plein de trucs sur ses bras. Même si ça ne fait paraître ses avant-bras que plus fins.

Pourtant à part ça, elle fait pas vraiment maigre. Une poitrine pas très développée qu’elle a la flemme d’enfermer dans des soutiens-gorges hors de prix. La plupart du temps, elle ne met carrément rien, ou à la limite, des brassières de sport complètement usées et qui ne tiennent rien. Elle aime pas les soutif, ça l’étouffe. Et elle n’a rien à soutenir de toute façon, avec son humble bonnet B qui lui convient parfaitement. Si elle en avait des plus gros, on n'arrêterait pas de lui dire qu’il faudrait absolument qu’elle mette des soutif pour pas qu’ils tombent. Elle a un piercing d’ailleurs, sur sa poitrine. Au téton gauche. Sur un coup de tête et pour faire gueuler du monde elle avait décidé qu’elle se ferait les deux seins, mais après la douleur du premier, avait clairement refusé de faire le deuxième ! Et puis un, ça lui convient parfaitement après réflexion. Ça fait asymétrique, ça stresse les perfectionnistes et c’est encore mieux comme ça. Si on descend plus bas, on voit qu’elle n’a pas une taille très marquée. Un peu comme une brique en fait. Probablement dû à son léger rembourrage, parce qu’elle n’est pas du genre à manger sainement. Quand elle pense à manger, du moins.

Son postérieur par contre, c’est autre chose ! Ça doit être la seule chose dont Rory est fière. Un arrière-train ferme et bien rebondit, qu’elle n’hésite pas à mouler parfois dans des jeans, quand elle se sent d’humeur désirable ! Ce qui n’est pas tant que ça au final, quand on compare au nombre de fois où elle va se balader dans des jeans trop grands pour elle, piqués à des potes, les treillis militaires et les pantalons de survêtement. Hormis ses quelques élans de « coquetteries » de temps à autre, la colorée a plutôt tendance se glisser dans des vêtements amples et confort. Enfin… Quand je parle de coquetteries, faut pas s’imaginer qu’elle va sortir l’attirail du style robe/jupe et talons ! Nan, chez elle ça sera plutôt un top moulant avec l’un des rares soutifs qu’elle aura (si elle ne s’amuse pas à ne rien mettre du tout), et un jean tout aussi moulant ! Lui en demandez pas trop à l’animal non plus… Par contre elle peut se maquiller facilement ! Ouais c’est le contraste. Elle est capable de s’habiller quotidiennement comme un sac, mais par contre, avec son trait de liner sur la paupière et son mascara en même temps, ça la dérange pas.

C’est aussi le genre de nana à se ramener sans hésitation en kigurumi au KFC du coin parce qu’elle a eu la flemme de se rhabiller pour sortir. Venez comme vous êtes, les gars ! Merde, c’est pas la bonne enseigne… Plus blanche que Rory tu meurs. Le genre à pas du tout aimer le soleil et qu’il y a intérêt à mettre la masse de crème solaire si tu veux mettre un orteil dehors. Ça tombe bien, Rory est plutôt de ceux qui sont enfermés devant leur PC alors qu’il fait un temps radieux dehors ! Ses parents la traitaient de vampire plus jeune. Et à quatorze ans, ça l’aurait pas dérangée d’en devenir un… Comme la plupart des filles pré-adolescentes de son âge, qui rêvaient d’être mordue par un roux aux yeux dorés… Nan, elle était plus True Blood que Twilight en fait. Et puis bon… même maintenant, elle sort toujours pas vraiment. Ou du moins, pas à l’heure où le soleil est le plus haut dans le ciel ! Plutôt le soir… Pour boire, faire la fête et faire son petit business. Elle en garde les marques d’ailleurs, avec ses cernes bien violacées sous les yeux bleus.

Tout comme la couleur de ses cheveux. Oui, bleus. A l’origine châtains foncés comme papa et maman -enfin un truc sur lequel les deux étaient similaires- elle a volontairement accidentellement (dans cet ordre-là) jeté un pot de décoloration dessus, avant de se les teindre en bleu. Elle n’a pas vraiment hésité sur la couleur. Ni vraiment réfléchi non plus d’ailleurs. Elle voulait juste un truc qui sorte de l’ordinaire, comparé aux nombreuses personnes ayant les cheveux rouges ou blancs et surtout, faire gueuler ses parents. En contrepartie ? Ses cheveux sont de la pailles maintenant. Et comme elle n’est pas vraiment du genre à se faire des masques sur les cheveux tout le temps pour les entretenir et leur rendre leur douceur… Bref, ils sont complètement niqués et elle passe la moitié de son temps avec un bonnet sur la tête. Soit un bonnet gris ou noir tout con, soit avec un bonnet noir avec des cornes, soit un orange flashy avec deux gros yeux qui ressemblent aux yeux des Minions, dessus. Elle a les oreilles percées également. Entre helix, conch, et j’en passe… Elle est une vraie passoire comme dirait sa mère ! Mais elle assume complètement.

Elle a également un piercing sur la langue, bien qu’elle passe plus de temps à avaler les billes en caoutchouc, casser celles en plastique et s’exploser l’émaille dentaire avec celles en acier, qu’à faire autre chose avec. Ce piercing, elle l’insulte copieusement tous les jours et le garde juste pour le principe et pas donner raison à ses parents. Elle est tatouée aussi. Sur les côtés et le bras droit. La première fois, elle n’était pas encore majeure et elle avait du faire des pieds et des mains pour trouver quelqu’un qui avait accepté de la tatouer. Un type franchement pas recommandable, vu qu’il avait accepté de tatouer une mineure sans l’accord de ses parents. Et pas très délicat non plus. L’idiote s’était faite tatouer son signe astrologique sur le poignet. Un truc insignifiant qui ne prouvait que son désir de faire comme pas mal d’autres gens parce que « Se faire tatouer, c’est trop cool. » Ses parents l’avaient littéralement démontée quand ils s’en étaient rendu compte. Puis avaient abandonné par la même occasion. Et quand on a commencé à goûter aux tatouages, on a du mal à s’arrêter par la suite ! Et c’est pour cela que maintenant elle a presque la totalité de l’épaule et du bras droit de tatoué et qu’elle n’est pas prête de s’arrêter.


Révélations


Histoire : Elle est née aux États-Unis, d’une mère thérianthrope amstaff de moyen gabarit, et d’un père bluetick coonhound, poids plume. Ses parents n’étaient pas tous jeunes quand Rory a pointé le bout de sa truffe, son père travaillant dans une grande entreprise de la Silicone Valley et ils avaient tous les deux la trentaine bien faite, quand ils se sont rencontrés et ont commencé à se fréquenter. Trois ans plus tard, ils décidaient d’emménager ensemble, deux ans après ils se mariaient et encore un an plus tard, sa mère était enceinte de la sale gosse ! Elle ne savait pas si elle allait mettre au monde un bluetick comme son mari, ou une amstaff tout comme elle, sachant simplement que la future boule de poils serait une poids plume, mais elle s’en fichait pas mal, tant qu’elle pouvait fonder une famille avec l’homme qu’elle aimait. Et c’est ainsi que Rory apparu dans leur vie, petit ver de terre à l’apparence d’un chiot staffordshire aux yeux de ses deux parents.

Contrairement à maintenant, Rory n’était pas difficile et ne passait pas son temps à pousser ses parents à bout. Elle faisait ses nuits et c’était ses parents qui étaient obligés de la réveiller pour l’allaitement, avant que les seins de madame n’explosent. Le nombre de fois où monsieur Jefferson a regretté de ne pouvoir poser les mains sur les pommes rondes de sa femme, mais que cette dernière râlait dès qu’il y posait un doigt, tellement ils étaient douloureux sous les montées de lait… Alors qu’à l’accoutumé, elle avait de petits seins qu’elle transmettrait plus tard à sa fille, c’était une torture pour l’homme de ne pouvoir en profiter. Mais il avait une autre occupation maintenant, courir après un chiot énergique qu’il ne voyait pas ! Car même si elle était sage, qu’elle soit à quatre pattes, deux pattes et deux bras ou autre, elle restait une gamine très vive pour son âge ! Elle commença à marcher assez tôt et parler tout aussi vite ! Enfin, quoi qu’il aurait été plus adapté de dire « crier » plutôt que de parler… Elle en avait des poumons la gamine !

Les problèmes arrivèrent dans les alentours de ses quatre ans. À cet âge-là, elle était intenable. Et autant, plus petite il était amusant et mignon de la voir courir partout, autant cela en devenait usant, si on y ajouter sa voix haut-perchée qui hurlait à tout bout de champ pour communiquer. Mais le plus épuisant était sa continuelle remise en question de l’autorité de ses parents. Pourquoi ne devait-elle pas courir dans la maison ? Pourquoi devait-elle arrêter de crier ? En quoi c’était mal de tirer les cheveux de la fille des voisins ? Pourquoi elle devait aller se coucher alors qu’elle n’avait pas sommeil ? Pourquoi elle devait manger ses épinards ? De toute façon qu’elle les mange ou pas, les petits enfants du Mexique ne les mangeraient pas pour elle, donc qu’est-ce qu’ils s’en fichaient ? Pourquoi devait-elle contrôler son aura ? Pourquoi c’était mal de se transformer quand elle voulait jouer avec Dylan, son amoureux de l’école primaire ? Parce que oui, lorsqu’il fallu qu’elle commence à apprendre le contrôle de son aura, ce fut compliqué. Elle n’en voyait pas l’utilité et n’y arrivait pas…

Elle fit des efforts au début, mais à cette époque-là elle était déjà très susceptible et se vexait si elle n’y arrivait pas du premier coup. Du coup, elle avait tenté de se contrôler, mais en ne voyant pas rapidement les progrès, elle avait laissé tomber, jusqu’à la fin de l’école primaire. Ne voulant pas se ridiculiser devant les autres enfants thérianthropes qu’elle aurait pu croiser au collège, elle avait mis les bouchés doubles dans son coin pour arriver à se contrôler. Le pire, c’est qu’elle n’avait pas eu plus de difficultés que cela pour apprendre à se contrôler… Mais elle n’en avait jamais eu la motivation. Et c’était ça qui avait profondément épuisé ses parents durant toute son enfance. Une gamine qui avait des capacités, mais ne les exploitait pas. D’abord par manque de patience et susceptibilité, s’étant toujours sentie agressée par la moindre remarque depuis toute petite, puis par manque de confiance en elle. Bien qu’il était supposé que sa susceptibilité d’enfant étant la manifestation de son manque de confiance d’adolescente. Et rien ne s’arrangea quand son père fut promu à un poste plus important et qu’ils durent déménager à New-York.

Son père fut content de retourner dans sa ville natal ! Et se fut l’occasion pour Rory de voir plus régulièrement ces grands-parents paternels ! Elle eu du mal à se faire à l’idée qu’elle devait quitter le chaud soleil de la Californie pour pour le temps beaucoup plus aléatoire de New York City… Le soleil d’été ne changeait pas vraiment de ce qu’elle avait l’habitude de vivre, mais la neige d’hiver… Même en étant une canidé, elle n’avait pas été habituée par le passé et mis un certain d’adaptation… Même si une fois que c’était fait, cela ne la dérangeait plus du tout. Mais le plus dur, fut de quitter ses amis et de s’en faire de nouveaux ! Et puis le collège, c’était la pire période pour s’adapter après un changement du ville. Les gamins cherchaient leur personnalité et n’étaient franchement pas tendres entre eux. Rory en souffrit beaucoup et se referma considérablement sur elle-même. C’est à partir de ce moment-là qu’elle commença à se méfier des autres et à ne plus vouloir s’ouvrir, souffrant beaucoup trop des attaques extérieures au point de n’être même plus capable de voir les personnes qui tenaient à elle.

Son manque de confiance en elle s’accentua et elle partit complètement en vrille. Prisonnière de son mal-être, elle commença à se scarifier, pour se défouler. Ses parents s’en rendirent naturellement compte, mais cela n’arrangea pas les choses. Ils voulaient qu’elle leur parle, elle voulait qu’on la laisse tranquille. Ils n’avaient jamais réussi à la comprendre et elle avait toujours eu une impression d’abandon, qu’on ne s’occupait pas assez d’elle.. Et pourtant, en tant que fille unique et trésor de ses parents, rares étaient les moments où ces derniers ne s’étaient pas occupés d’elle ! Mais elle n’arrivait pas à le voir… Son manque de confiance en elle et les moqueries des élèves l’empêchaient de le voir et elle rentrait de toute façon, dans une période où personne ne pouvait la comprendre. La crise d’adolescence s’installa, les notes chutèrent suite à son décrochage scolaire et les engueulades avec ses parents se firent de plus en plus fréquentes. Et ça ne s’arrangea pas lorsqu’elle réussit enfin à passer au lycée. Entre écoles buissonnières, nombreuses soirées en faisant le mur, les faux-papiers faits par des copains, l’odeur de tabac dans sa chambre et les bouteilles d’alcool planquées sous son lit, tout était sujet à se disputer avec ses parents.

Les piercings commencèrent, faisant hurler ses derniers. Eux qui avaient contribué à créer un si beau corps, voilà qu’elle le massacrait en faisant des trous partout dedans ! Et quand elle passa au tatouage, rien ne s’arrangea. Mais quand elle rata son examen de fin de scolarité et décréta qu’elle arrêterait les études qui n’étaient pas pour elle, ce fut la goutte de trop pour eux. Ils abandonnèrent. Bien sûr, ils hurlèrent, mais que pouvaient-ils réellement faire contre leur fille ? Elle restait leur enfant et ils l’aimaient. Et malgré toutes les menaces qu’ils avaient pu lancer, jamais ils ne pourraient mettre leur gamine à la porte. Mais ils n’eurent pas à le faire. Car même si la amstaff ne s’était pas donné les moyens de réussir ses études, elle ne supportait pas de rester chez elle à ne rien faire, à vivre au crochet de ses parents. Alors elle commença à chercher divers petits boulots, jusqu’à pouvoir partir de chez ses parents et vivre toute seule. Mais ce n’était pas simple… Pour se payer un petit studio miteux, elle fut obligée de cumuler plusieurs boulots en même temps…

Ce qui n’était clairement pas possible pour ses nerfs. Alors elle choisit la solution de facilité et commença à cultiver quelques plantes et à dealer, pour se faire de l’argent rapide et facile. Elle commença à vivre tranquillement avec ça. Certes, elle ne roulait pas sur l’or, mais avec une certaine tendance économe, elle arrivait à payer son loyer et de quoi manger… Elle s’offrit même un chien ! Corniaud croisé porte et fenêtre qui vint combler sa cruelle solitude. Car elle ne se faisait pas vraiment d’amis dans sa vie d’indépendante. Enfin, elle se faisait quelques « amis » mais pas vraiment des personnes à qui parler de ses histoires de cœur et pleurer sur leur épaule. Non, juste des potes avec lesquels boire. Elle eut quelques relations, jamais sérieuses et ce n’était jamais le grand défilé des conquêtes chez elle, de toute façon. De temps en temps, elle ramenait quelqu’un ou finissait chez quelqu’un, mais cela restait rare et ne durait rarement plus d’une nuit. Et les personnes avec qui cela devenait trop sérieux, elle prenait peur et faisait quelque chose d’irréfléchi qui détruisait le début de bonheur qui commençait à se construire.

Oui, sa vie était tranquille à la colorée. Mais cela ne dura pas. Elle commença à s’attirer des problèmes à cause de ses activités, alors quand cela commença à chauffer un peu trop, elle prit ses clics et ses clacs et partit. Elle ne réfléchit pas trop à où elle allait atterrir, mais son chemin s’arrêta à Chicago. Là, elle pensait recommencer sa vie en tentant d’abord de trouver un petit boulot tout simple et sans trop d’embrouilles, mais son passé et ses mauvaises habitudes la rattrapèrent. Petit à petit, elle se remit à dealer pour arrondir ses fins de mois. D’abord que de temps en temps, juste comme ça… Puis de plus en plus souvent. Jusqu’à ce qu’elle se frotte à plus gros qu’elle. En débarquant ici la fleur au fusil, elle ne s’était pas renseigné sur les maîtres des ruelles du coin et se mangea une belle correction entre les dents. Elle n’eut d’autre choix que d’accepter de travailler pour la Pandilla Bastarda en tant que leur dealeuse, si elle voulait continuer à faire sa petite activité, ou même simplement, pour qu’on la laisse en paix… Ce ne fut donc pas vraiment par choix qu’elle accepta, mais cela aurait pu être pire.

Jusqu’à ce que la police lui tombent sur le dos. Un piège à la con. Elle bossait en traînant dans une ruelle isolée, comme à son habitude. Attendant que des clients viennent à elle pour réclamer leur dose. Ça avait été le cas cette fois-ci aussi, un client était venu et avait demandé ce qu’elle avait de plus fort. Elle aurait probablement dû se méfier Le pseudo-client avait alors sortit son badge et elle s’était faite embarquer au poste de police. Rory n’était pas une dure à cuire. Elle avait un peu joué les grandes gueules au début, mais avait vite craché le morceau. Et puis, elle n’était pas une mauvaise personne, elle cherchait juste à survivre dans le monde dans lequel et s’était involontairement projetée. Au contraire, c’était une personne juste et droite, malgré son activité. Mais elle restait quelqu’un de très humain. Ils savaient pertinemment qu’en étant qu’une simple dealeuse, elle ne n’aurait pas d’informations capitales à leur donner, mais qu’elle pourrait au moins les aiguiller quand ils auraient besoin d’elle. En tant qu’indic. Alors elle reprit son train de vie quotidien, à traîner sa carcasse dans les ruelles, faisant parfois des soirées ou restant à traîner sur son ordinateur, toujours collée par son chien.


Informations


Autre chose : Na.
As-tu bien lu le règlement? : … Non '-' *s’enfuit loin ♫*
Comment as-tu découvert ce forum? : Euh.. euh… Un jour j’ai lu un manga… Puis j’ai trouvé ça génial ! Alors j’ai regardé s'il y avait des forums sur le sujet… Mais ils étaient tous morts ! Et puis je voulais faire un nouveau forum. Du coup j’ai créé Love Pistols RPG y a presque 9 ans, avant que nous déménagions ici ♥
C'est quoi ton avatar ? : Chloé Price de Life is Strange~
As-tu lu les manga Love Pistols ? : Premier yaoi que j’ai acheté, omg xD
Regardé les OAVs ? : …. 8)
Changerais-tu quelque chose ? : Oui. Moi. /MEURT
Lun 25 Fév - 8:56
https://chicagospulsions.forumactif.com/t43-r-o-r-y-i-m-not-a-good-dog https://chicagospulsions.forumactif.com/t46-don-t-pitch-me-the-ball-l-i-e-n-s https://chicagospulsions.forumactif.com/t45-in-this-moment-jackson-knew-it-fucked-up-r-p-s
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Tout est bon. Va te balader petit chien.~


Tu es validé(e).

A présent tu peux aller faire un tour sur le forum pour faire ta fiche de liens, si l'envie t'en dit, puis ta fiche de RPs, qui te permettra de savoir quels rps sont en cours ou finis ou abandonnés etc.
Tu pourras également allé voir les demandes de RPs pour débuter ton aventure sur le forum et pense aussi à faire une demande de logement si tu ne veux pas dormir à la rue~
Sam 2 Mar - 11:29
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