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NC18 - Contient de la violence et de l'érotisme

2032, le visage de Chicago a bien changé... Et celui de la communauté thérianthropique également...
 
Nous sommes en avril 2032, l’hiver se termine enfin sur Chicago et après des neiges et des gelées
quelques peu excessives, le soleil commence à pointer le bout de son nez ! Il ne fait pas encore très
chaud et il faut donc continuer à se couvrir pour sortir, mais les rayons viennent redonner meilleure
mine à la ville et les gens viennent de nouveau se poser en terrasse pour prendre un café !
Les clans ne peuvent que constater la nette augmentation des disparitions. Les Bastardos quant à eux
s’énervent encore un peu plus sur le fait que quelqu’un vient vendre de la marchandise qui n’est pas
la leur sur leur territoire (même si tous les territoires restent touchés) et les esprits s’échauffent
de ne pas arriver à trouver qui sont les coupables !
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Javier Katari [100%]
Javier Katari
Javier Katari [100%] Ndo9
Race : Atavique non-révélé - Jararacuçu - Premium
Masculin
Dominance : Joker
Emploi : Artiste Tatoueur - Perceur
Localisation : Polish Village
Messages : 23
Points rp : 28
Atavique
Atavique
Javier Katari

Katari Javier


Prénom : Javier
Nom : Katari
Surnom :
Date de naissance : 9 Février 2006
ge : 26 ans
Sexe : Homme
Origines : Origines boliviennes, mais vit aux États Unis depuis plusieurs générations
Nationalité : États-unien
Orientation sexuelle : Bisexuel tendance forte homosexuelle, masochiste
Emploi : Tatoueur
Groupe : Civil
Ascendances : Serpent - Jararacuçu (Bothrops jararacussu) - Premium (Atavique non-révélé)


Identification


Goûts :
Tu es quelqu’un de simple dans tes goûts. Et un habitant typique de Chicago. La street-food de ta ville est pour toi sans aucun équivalent sur terre. Les hot dog en particulier, une véritable institution de la cité des vents, qui te permettent de dire extrêmement régulièrement à quel point tu aimes la saucisse. Tu te nourris tous les midis à l’un des très nombreux food-truck de la ville, du moment qu’ils soient à moins de quinze minutes à pattes de ton salon. On peut aussi préciser que tu apprécies particulièrement la nourriture épicée.

Tu es un véritable oiseau de nuit. Tu aimes quand le soleil se couche, couvrant la ville de lueurs orangées et rouges. Tu aimes quand les rues s’assombrissent. Même après toutes ces années, une certaine excitation te prends alors. Tu profites pleinement de la vie nocturne de Chicago, tant et si bien que ton salon n’ouvre jamais avant onze heures. Heureusement que tes clients sont majoritairement des nocturnes aussi. Tu n’aimes pas vraiment le jour, où tout est trop lumineux pour toi. L’aube apporte des couleurs magnifiques, mais tu la détestes par principe, car marquant la fin de la nuit. Enfin, tu es rarement éveillé à ces heures ci.

Tu es un artiste, un esthète. Tu es perpétuellement à la recherche du beau. Tu aimes les arts graphique, les photographies et les sculptures. Passer des heures à admirer un tableau d’un grand maître te semble on ne peut plus légitime. Tu te dépatouilles bien dans ces disciplines, en particulier lorsqu’il s’agit de dessiner. Et encore heureux, vu ton métier. Le tatouage, c’est ton art à toi, tu ne t’exprimes jamais mieux qu’en tatouant. Ce que tu aimes dans le tatouage, c’est mêler ton histoire à celle de ton client pour créer une œuvre unique. L’histoire de ton client est évidemment plus importante que la tienne, mais tu sais que ton propre vécu influe sur chacun de tes dessins. En conséquence, tu détestes faire les tatouages flash, que tu juges même infamant. Lorsque l’on marque sa peau, ce devrait toujours pour raconter quelque chose, pas juste pour faire joli.

En parlant de tatouages, on peut dire que ton style, c’est le New School. Un New School bien à toi certes, aux lignes davantage épurées, plus fines, aux dessins moins cartoon et un brin plus réalistes, mais en tout cas, ton travail sur les couleurs s’y rapporte. Antoni, celui qui t’a tout appris, ne jurait que par ce style et tu as hérité de lui ces couleurs vives, saturées, contrastées, ainsi qu’un vrai travail sur les lignes et les contours. Comme tu connais bien les codes et les motifs de l’Old School, c’est ce qui te permet d’en faire aussi facilement. Et ces lignes parfaites te permettent aussi de faire du pictural moderne dans lequel tu t’amuses toujours avec le symbolisme. Néanmoins, ton sens du détail explose quand tu t’attaques à un tatouage réaliste. Tu es aussi parfaitement capable de faire du noir, ce qui est parfois plus adapté. Tu es versatile. Si versatile que tu as même appris à faire les tatouages japonais, surtout pour une raison : les fleurs.

Les fleurs, c’est ton motif favori. Et parlons-en, des fleurs. Pour toi, il n’y a rien de plus beau sur terre que les fleurs. Tu as peut être rejeté ton éducation catholique, mais tu crois toujours que les plus belles fleurs ont été façonnées par Dieu directement, fleurs par fleurs, pétales par pétales. Tes fleurs favorites sont les orchidées, mais on te voit souvent mettre dans le salon un bouquet de pervenche ou de chrysanthèmes.

Ceux qui connaissent le langage des fleurs pourront peut être comprendre. Tu aimes bien laisser ce genre de petites choses, des informations cachées au grand jour, disponibles pour ceux qui savent voir. Tu en laisses ci et là, des secrets sur toi, et parfois même, des secrets sur les autres. Quand un client arrive, qu’il te raconte son histoire, tu la traduis en symboles, en images, pour créer son tatouage, pour qu’il affiche aux yeux de tous cette histoire. Une sorte d’exhibitionnisme pudique.

Tu aimes les jeux, mais tu détestes le sport. Il n'y a rien de pire pour toi que de se retrouver à suer tout ça pour courir après une balle ou pire encore, courir dans le vide... Ou pour taper sur quelque chose ou quelqu'un. Afin d'entretenir ton corps parfait, tu t'es résolu à pratiquer du yoga, seul sport à avoir obtenu tes faveurs, surtout parce qu'on y sue moins et qu'en plus, tu travailles et conserve ta souplesse naturelle.

Tu as eu de nombreux vices dans ta vie. Tu as même failli tomber dans la coke. Et si tu dis faillis, c'est bien parce que tu juges que la "facilité" avec laquelle tu en es sorti te permet d'affirmer que tu n'étais pas si dépendant que ça. Tu as aussi été alcoolique, et franchement dépendant à la fumette. Pourtant, tout ça, c'est passé. Tu touches certes encore à l'alcool en soirée, mais toujours modérément. Finalement, tu n'as plus qu'un seul vice : le sexe. Tu as plusieurs partenaires réguliers, ce qui ne t'empêche pas de cherche des coups d'un soir, mais tous, ou presque, dans le milieu SM de Chicago. C'est que tu aimes la douleur. Tu l'aimes tant que chacun de tes piercing se sont finis en partie de jambes en l'air. Et que tu étais complètement fou de plaisir et de désir à la fin de ton tatouage.

Caractère : L'un des mots qui revient le plus souvent pour te décrire, c'est sournois. Et tu avoues sans complexe être quelqu'un de manipulateur. Mais c'est souvent pour notre bien, parait-il. En tout cas, tes clients ne se plaignent que rarement quand tu les mènes par le bout du nez afin de faire ce que tu penses être le meilleur tatouage. Cela dit, si tes clients ne sont pas à plaindre, c'est moins vrai pour toutes les rencontres que tu peux faire quand tu sors la nuit. Pour le coup, il ne s'agit plus de faire le meilleur tatouage possible, mais uniquement de ton amusement.

Et ton amusement se fait souvent aux dépends des autres. Tu peux être une personne affreusement mesquine. Tu ne sais plus quand tu as attrapé cette mauvaise manie. Peut être bien à ton passage au The Male, pour te venger de n'être qu'un objet de plaisir pour toute sorte d'affreux pervers. Toujours est-il que quand tu as une idée derrière la tête, tu n'en démords pas et te permettra tous les mauvais coups pour parvenir à ton but. Rare sont ceux qui parviennent à suivre le cheminement de tes pensées.

Il faut dire, rare sont ceux qui peuvent te comprendre, d'une manière générale. Tu ne te laisses pas facilement lire, ni même approcher. Une de tes règles d'or, c'est que le sexe ne doit jamais s'accompagner de sentiments. Dans ta vie, tu n'as plus que deux personnes qui te sont chères et même elles, tu les voies peu. Quand tu ne cherches pas quelqu'un avec qui jouer sous les draps -ou à tout autre endroit possible- tu préfères largement être seul. Tu te réfugies alors dans ton monde intérieur, un monde dont toi seul a la clef et tu n'es pas prêt de la donner à qui que ce soit. Ce monde là n'apparait à l'extérieur que par des objets anodins mais dont tu aimes le symbolisme.

Ce toi là tranche avec la personnalité flamboyante que tu affiches. Tu n'es pourtant ni bipolaire ni à personnalités multiples. C'est simplement qu'il y a un temps pour tout. Un temps pour l'art. Un temps pour le jeu. Un temps pour le recueillement. Puisque tu croiseras les gens surtout pendant le temps de jeu, parlons plus de ton extravagance. Le jeu qui t'amuse le plus, c'est celui du flirt. A partir du moment où tu trouves quelqu'un plaisant, tu flirteras avec lui. Cette manie là mord même sur le temps de l'art, puisque certains clients sont accueillis avec une attention toute particulière. Ce n'est pas que tu veuilles vivre une aventure avec tout Chicago. Loin de là. Tes goûts particuliers exigent de toi que tu trouves des partenaires bien spécifiques. Mais tu prends un plaisir indescriptible à tenter les autres tout de même. Et si tu ne te débrouillais pas si bien à ce petit jeu, tu aurais eu moins de succès cette année où tu as été gigolo. Tu ne fais jamais les choses à moitié cela dit. S'il s'avère que tu as trop bien joué ton jeu, que ça aille plus loin que tu ne l'avais prévu. Tant pis. Tant que c'est avec un homme.

Tu aimes d'autres jeux, tout de même. Pas tellement ceux de chances, mais ceux d'esprits. Tu as l'esprit aiguisé. Le poker a tes faveurs, mais il faut trouver des personnes jouant sans argent. C'est frustrant, seuls les adolescents jouent sans réelles mises, mais tu ne peux pas te permettre de parier de l'argent. Tu joues souvent. Tu ne perds jamais une occasion, surtout si tu peux prouver que tu es le meilleur. C'est que tu es compétitif. Tu es même mauvais joueur et tu n'hésites jamais à tricher s'il le faut. Heureusement que tu as les mains agiles. Quoiqu'il en soit, tu es le genre de personne à toujours t'afficher, à toujours vouloir être certain que l'on te remarque.

Tu es une personne très déterminée. Non, en fait, tu es carrément obtus. Rien ne te fera jamais démordre. Si tu veux faire telle chose, tu la feras. Ce comportement te fourres parfois dans de sales draps, mais c'est aussi parce que tu es prêt à tout et toujours très déterminé que tu es parvenu à faire ce que tu fais aujourd'hui.

Tu es très pragmatique quand il s'agit d'argent. Non pas que tu ais le moindre choix, vu la dette que tu dois encore payer. Tu as déjà fait toute sorte de choses, pour de l'argent, ainsi, tu n'as pas vraiment de limite, même si tu t'es promis de ne plus jamais vendre ton corps. Qui sait si tu ne fléchiras pas devant une proposition alléchante ? L'argent n'a pas d'odeur. En plus d'être prêt à beaucoup, si ce n'est tout, pour l'argent, tu es économe, voire radin. L'un des avantages à séduire tout homme qui passe et qui te plait dans un bar, c'est que tu trouves souvent moyen qu'il te paye toute tes consommations. Toi, opportuniste ? Jamais ~

Tu es aussi une personne très franche. Très directe dans ce qu'elle dit, sauf si cela dessert tes intérêts. Tu as le parler franc, mais surtout, vulgaire, grossier. Tu as pourtant été bien éduqué. Trop bien peut être. Tu aimes utiliser un langage cru et explicite. Surtout si ça te permet de faire rougir ceux qui sont plus prudes que toi, c'est à dire en réalité bien des personnes. Tu es complètement décomplexé sur bien des choses. Pas seulement le sexe, mais aussi sur tes opinions politiques non consensuelles parfois bien extrêmes (pour la peine de mort, pour la légalisation de la prostitution...). Tu n'hésites jamais à débattre. Il faut dire que tu es un brin rentre dedans, tant dans le flirt que quand il s'agit d'aller à la bagarre. Oh, tu n'aimes pas vraiment frapper les gens. Bien d'avantage te faire frapper...

Physique : Tu es un jeune homme grand et élancé. Tu mesures un peu plus d’un mètre quatre-vingt-dix pour un petit soixante-dix kilos. Tu es un véritable ectomorphe et tu te délectes de notre jalousie à ce sujet. Néanmoins, tu flirtes perpétuellement avec la maigreur. Tu es très fin et ta masse musculaire est quasiment inexistante. Si l’on ajoute à cette silhouette longiligne tes très longs cheveux noirs, on peut dire de toi que tu es androgyne. D’ailleurs, tu en joues parfois, car il t’arrive de prendre du plaisir à te vêtir avec des vêtements féminins dans le cadre de jeux coquins. Et dans ce cadre là uniquement. Autrement, tu préfères largement des T-shirt près du corps au grand décolleté, des jean slim taille basse, des pulls fins aux cols roulés quand il fait plus froid… On est assez loin de l’image de bad-boys de bien des tatoueurs, tu aimes ta silhouette, tu te trouves sexy et cherche toujours à te mettre en valeur.

Ta peau est plus mate que celle d’un américain pur souche, mais moins que les sud-américains. Ton sang métissé te donne un teint légèrement hâlé, presque doré. Ta peau est douce et ton corps est très peu tatoué. A vrai dire, tu n’en possèdes que deux : un point virgule sur ton majeur gauche, du côté de l’index et une orchidée sur ta nuque. Plus exactement, une orchidée cattleya intermedia, d’un blanc magnifique avec une touche de violet, originaire du Brésil. Le choix de l’orchidée n’est pas neutre, puisque cette fleur représente la passion absolue. Une fleur blanche, c’est la pureté, la virginité, l’innocence, la joie… Le violet, c’est le rêve, la paix.  C’est une véritable déclaration tatouée sur ta nuque, à cet endroit qu’alors, seul Antoni pouvait voir. Désormais, elle ne se livre plus qu’à tes amants les plus acharnés et aucun n’a toutes les clefs en main pour le comprendre. Le point virgule, c’est le premier tatouage que tu as fait en tant que tout nouveau propriétaire de ton salon, pour marquer le début de ta nouvelle histoire.

Tu as davantage de piercings. Ils ont tous été faits par Antoni, car ton grand amour est le seul à avoir pu, un jour, marquer ta peau. Le haut de ton oreille gauche est percée par trois fers à cheval. Ton arcade droite par un barbell. Ta narine droite par un stud. Tu possèdes aussi un Monroe, soit un labret au dessus de la lèvre supérieure du côté gauche. Ces trois piercing ne sont pas sans rappeler les mouches que l’on portait à la cour du Roi Soleil : la Majestueuse, l’Effrontée et la Gourmande. Tu possèdes encore un Snake Eyes, soit un barbell qui passe horizontalement à travers la pointe de ta langue et un anneau au téton droit.

Nous avons déjà parlé de tes cheveux. De longs cheveux noirs. Tu as les cheveux fins, lisses, et très soyeux. Avoir une chevelure qui retombe dans le bas de ton dos, ce n’est pas une sinécure, ça demande de l’entretien, combien d’heures y passes-tu par semaine ? Shampoing, masques, brosse à cheveux. Tu les laisses la plupart du temps détachés tel une cascade de soie noire sur tes épaules. Quand tu tatoues, tu les attaches avec deux élastiques, un juste sous ta nuque et un deuxième au milieu du dos, environ. C’est pour l’hygiène, personne ne veut qu’une mèche de cheveux vienne chatouiller le tatouage tout juste fait. Tu possèdes aussi de longs cils qui renforcent encore ton apparence féminine. Tu épiles tes sourcils, car tu détestes les avoir trop épais. Et tu détestes la pilosité faciale, sur toi en tout cas. Tu te rases de près, tu ne veux pas voir apparaître l’ombre d’une moustache ou d’une barbe.

Parlons un peu de ton visage encadré par cette chevelure. Tes yeux sont tout aussi noirs que tes cheveux. De grands yeux où l’on peine à différencier l’iris de la pupille. Cette particularité rend la moindre de tes expressions compliquées à interpréter. Difficile de lire quoi ce soit dans ton regard et tu en joues. Tu as le front large et haut, un nez aquilin, de hautes pommettes, la ligne de ta machoire est dure, rectangulaire, ton menton pointu. Cette machoire, tu ne l’aimes pas toujours, tu la trouves trop masculine en comparaison du reste de ton visage. Elle, ta pomme d’adam et tes grandes mains aux doigts de pianistes, pour toi, c’est ce qui te différencie le plus des femmes, en dehors des attributs spécifiques de chacun, naturellement. Tu les détestes autant que tu les aimes.

Révélations


Histoire :

Tu es né en hivers, au début du mois de février, en plein milieu du championnat de hockey sur glace, à la fin de la saison de patinage artistique. Non pas que ça t'intéresses, tu détestes le sport et ces deux là ne font pas exception. Tu es pourtant de la même ville que Bates Battaglia, Chris Chelios, Dorothy Harris. Non, ils sont trop vieux, ils ne faisaient plus briller les yeux de votre génération.

Tu as eu une enfance des plus banales. Comme ton père n’a eu de cesse de le rappeler lors de ce qu’il pensait être ta crise d’adolescence, tu étais même un enfant chanceux. C’est vrai. Tu sais que ceux de ton arbre généalogique ont bien morflé.

Comme ton arrière grand mère paternelle. Elle était arrivée en cloque aux États Unis, depuis la Bolivie. Un homme l’y avait séduite, mais n’avait rien voulu entendre quand elle lui avait dit qu’elle était enceinte. Sans époux, elle était déshonorée, elle a été chassée par sa famille. Ce qui ne l’empêchait pas de garder près d’elle une photo d’elle et de son amant. La dernière fois que tu as vu ton arrière grand mère, tu n’étais qu’un gosse. Mais elle ne cessait de dire à quel point tes yeux ressemblent aux siens. Si elle savait. Tu n’as pas hérité que ça de lui, mais ça, tu l’ignores. Comment pourrais tu connaître la particularité de cet homme que tu n’as jamais connu, comment pourrais tu avoir eu vent de cet autre monde ?

Ton grand père s’en est bien sorti. Il s’est marié à une métisse, bolivienne par sa mère. Mais quand ton père a rencontré ta mère, l’histoire de celle ci a fait écho à celle de sa famille. Car ta mère a aussi été élevée uniquement par sa mère, après que celle ci eut été mise en cloque par son employeur chez qui elle faisait le ménage. Un classique.

Tes deux parents étaient catholiques et hispaniques. Rien d’étonnant à ce que tu apprennes l’espagnol et aille tous les samedis au catéchisme. Tu as passé depuis beaucoup de temps à oublier tout ce que le vieux curé boutonneux vous apprenait.

Il n’y a pas grand chose de plus à dire sur ton enfance non loin de Wicker Park. Ton père était un médecin à l’hosto. Pas que médecin d’ailleurs, professeur aussi. Un grand exemple du rêve américain, de l'ascenseur social. Tu ne le voyais pas tellement, ta mère te disait que c’était parce qu’il avait beaucoup de travail. Mais le dimanche, c’était sacré. Chaque dimanche, tu devais raconter tout ce que tu as fait cette semaine. Ton père était exigeant. Il attendait de toi que tu ais de bonnes notes, que tu sois sérieux au basket, car, comme il le disait, il faut avoir un esprit sain dans un corps sain. Quand il n’était pas content, il te jetait un de ces regards qui te donnaient envie d’aller creuser un trou. Mais sinon, il te donnait alors un paquet de bonbon. En fait, tu gardes curieusement de bons souvenirs de cette époque là. Ce n’est pas à cause de ça que tu hais tes parents.

A quel âge ça a commencé ? Quand tu l’as rencontré, sans aucun doute. Lui, c’est Antoni Verbitzki. Toi, ton meilleur ami, fils d’émigrés mexicains nommé Abedon, et Bohuslave, un troisième larron ukrainien, vous vous êtes aventurés dans le nord. Tout ça pour aller prendre une arène aux rouge. Oui, vous jouiez à Pokemon Go. Vous avez débarqué à Polish Village sans vraiment vous en rendre compte et tu es tombé face à face avec le salon de tatouage d’Antoni. Le tatouage, ça t’avait toujours attiré, tu étais un fan inconsidéré de Ink Master. Mais c’était la première fois que tu te retrouvais face à un salon. Pour de vrai. Tu hésitas un court instant avant d’entrer, pour faire face à un être quasi irréel. Tu avais déjà vu des blonds, bien sûr, mais lui, ses cheveux étaient presque blancs, à l’opposé de ta chevelure noire qui à l’époque t’arrivait aux épaules. Ses yeux étaient d’un bleu très clairs, à l’opposé de tes yeux noirs. Il faisait ta taille. Il était bien plus musculeux que toi. Plus âgé aussi. Il te fixa du regard, de haut en bas, puis il scanna tes camarades.

“Je ne tatoue pas les mineurs. Je ne les perce pas non plus sans présence d’un de leur parent.”

Pour une première rencontre, ce fut… Bref. Tu ne pus que tourner les talons aussi sec. Alors, qu’est ce qu’il fit que deux semaines plus tard après, même pas, tu étais de nouveau à cet endroit là ? Très simple : tu avais pris ton courage à deux mains pour aller demander un job à ce mec. C’était même sur une proposition de ton père. Tu avais arrêté le basket il y a un an, tu avais refusé de continuer le moindre sport, c’était pas ton truc. Et ton père en avait marre de te voir gribouiller, comme il disait, à la maison. Pourquoi donc ne pas trouver un petit job ? Ça apprends la vie, de travailler. Ça te fera de l’argent, pour payer plus tard ton permis, ta voiture… Tu venais d’avoir 15 ans et tu avais le droit de bosser un peu… Les petits jobs de lycéens quoi. Du moment qu’ils n’étaient pas en usine. Ça tombait bien, tu avais une idée. A tes parents, tu avais présenté ça comme un p’tit boulot comme hôte d’accueil pour un artiste. Vu ton quartier, rien d’étonnant. Vu ta passion pour l’art, encore moins étonnant. Tu as juste omis de préciser que ce ne serait pas à Wicker Park, et que l’artiste en question était artiste tatoueur.

Tu penses qu’alors, c’est ton culot qui t’a permit d’avoir le job. Tu as pas mal insisté, beaucoup argumenté. Tu lui as dit, tu lui as montré, à quel point tu aimais le tatouage. Ça te fascinait. Tu lui as montré des dessins aussi. Finalement, il accepta. Il t’engagea officiellement comme hôte d'accueil dans son salon. Tu devais accueillir les clients, ce qui passait par dire des politesses -soyons clairs, ce n’était vraiment pas le point fort d’Antoni- les mettre à l’aise et les faire patienter si Antoni n’était pas là. Il te confia aussi rapidement la tâche de nettoyer et stériliser les instruments. Tu écoutais avec lui les demandes des clients et parfois, il te proposait de dessiner avec lui. Dans un premier temps, tu ne montrais pas au client ce que tu faisais, c’était juste Antoni qui critiquait ton dessin. Il faut dire que le dessin d’un tatouage, la composition d’un tatouage, tout ça a ses propres règles. Puis Antoni finit par laisser le choix au client entre son dessin et le tien. Bref, il fit réellement de toi son apprenti, comme tu l’avais rêvé.

Votre relation au travail changeait, mais aussi votre relation personnelle. Tu l’aimais. Tu as eu un coup de foudre pour lui dès ta première rencontre avec lui, c’est évident. Lui… Lui était un peu moins sûr. C’est vrai que lorsque l’on a trente ans, c’est difficile de regarder d’une façon romantique un gamin de quinze ans. A cette époque, tu étais très différent de ce que tu es maintenant. Tu étais… Maladroit. Timide. Mignon. Tu ne lui as jamais fait de rentre dedans comme tu as tendance à faire désormais dès qu’un mec te plait. Pourtant, un soir… Un soir, vous vous êtes embrassés. Tu t’en souviens parfaitement. Vous parliez d’amour justement. Tu ne voyais pas le problème avec le fait de faire un tatouage lié à une histoire d’amour. Même si celle ci se terminait… Si à un moment, elle a été assez forte pour qu’on ait le désir de l’inscrire sur sa peau, où était le problème ? Ce n’était pas comme si on oubliait son histoire après avoir rompu. Tu étais fleur bleu, romantique. Antoni le savait. Antoni savait aussi que tu l’aimais, tu n’étais pas vraiment discret. Mais ce soir d’été, quand tu finis par lui faire ta déclaration, il t’embrassa.

C’est ainsi que votre histoire commença, sept mois après votre rencontre. Tu étais fou amoureux de lui. Le septembre suivant, tu commenças à sécher les cours, pour peu qu’ils terminaient trop tard dans l’après midi. Tu ne voulais que passer du temps avec lui. Tu fis tes premiers tatouages sur de la fausse peau qu’Antoni commanda pour que tu puisses t'entraîner. Et tu laissas ton corps aux mains de ton amoureux. Le premier piercing qu’il te fit fut à ton téton. Tu avais peur que ton père le voie. Il n’aurait pas accepté. Ce fut l’expérience la plus érotique que tu n’avais jamais connu. Ce fut aussi ce soir là que vous couchiez ensemble pour la première fois. Et certainement pas la dernière. Tu découvris avec Antoni que tu étais extrêmement sensible à la douleur, mais pas comme le commun des mortels. Non, toi, ça te faisait bander. Ce qui tombait bien, car Antoni adorait maltraiter ton corps. Ce n’était pas une relation abusive, non. Vous vous aimiez, tu étais son trésor, il jouait sur ton corps comme certains jouent de la harpe. Il faisait monter en toi l’excitation, le plaisir et le désir, tout doucement. Il ne t’a jamais fait la moindre cicatrices en dehors de tes piercing et de ton tatouage.

Mais ton père finit par tout apprendre. Un jour, il vous surpris dans le salon. Vous étiez simplement en train de vous embrasser, rien d’autre. Sinon, le salon aurait été fermé, évidemment. Mais Antoni avait quand même trente ans, et toi quinze. Ça aurait fait enrager n’importe quel père, quoi que tu en dises. Ton père n’était pas plus heureux de voir quel genre d’artiste t’employait. Il pensait que tu étais dans l’une de ces galeries huppées de Wicker Park. Pas un salon de tatouage “miteux” de Polish Village. Il se saisit de ton bras et t’éloigna d’Antoni.

S’engagea alors une véritable bataille judiciaire. Tu étais mineur et Antoni majeur. Ton père porta plainte pour détournement de mineur, mais ce n’était pas si simple. Tu étais si proche de la majorité sexuelle. Et tu n’as pas été très collaboratif avec l’avocat que ton père avait engagé. Bien d’avantage avec l’avocat d’Antoni. Ce dernier obtint dans un premier temps que vous puissiez vous voir à nouveau, peu après ton anniversaire de 16 ans, et ta fameuse majorité sexuelle. C’était peut être une erreur. Ton père ne lâcha pas le morceau. Il mit en avant tes notes qui étaient descendues en flèches, ton récent absentéisme… Et quand Antoni te fis tes autres piercing, il hurla au scandale. Et encore, il n’avait pas vu le tatouage. Tes cheveux le recouvraient juste assez à cette époque. Après quelques mois avec Antoni, c’est l’avocat de ton père qui obtint à nouveau une mesure d’éloignement entre vous, en convainquant la juge qu’il avait une très mauvaise influence sur toi. Ce n’était pourtant pas nouveau que tu voulais devenir artiste tatoueur. C’était juste que tu n’en avais jamais osé parlé à ton père avant.

Les deux avocats étaient de vrais rapaces. C’est sans doute pour cela que le procès mit tant de temps à arriver. Finalement, Antoni fut jugé pour détournement de mineur et abus de confiance après que tu es eu 18 ans. Tu avais brûlé la lettre d’admission à l’université de Chicago, spécialité médecine, à laquelle ton père t’avait forcé de postuler, tu avais sombré dans les drogues… Et les jurés purent admirer la nature de vos jeux érotiques à toi et Antoni. Apparemment, la présence de fouets, pinces et autres avait choqué l’assemblé. Tu n’en sais pas plus, tu n’as même pas autorisé à y assister, ou même à témoigner. L’avocat d’Antoni avait peur que tu fasses un scandale dans la cour, un scandale qui aurait été repris à l’avantage de ton père par son avocat. Tu avais été jugé sous influence et donc, ton témoignage nul par le juge.

Tu les détestes tous, ces jurés, cet avocat, ce juge et ton père et même ta mère.

Finalement, Antoni fut condamné à la prison. On ne peut pas dire que ce fut un choc. Tu avais eu deux ans pour te faire à l’idée, tu savais que c’était un risque. Que c’était même probable. Et tu savais ce que Antoni en penserait. Antoni avait déjà fait de la prison. Il t’avait dit qu’il préférerait encore crever qu’y retourner. Alors, on ne peut pas dire non plus que la nouvelle de sa mort t’ai étonnée, loin de là. Quand tu l’as appris, tu n’étais plus chez tes parents. Tu t’étais barré de chez eux, non sans leur laisser un cadeau d’adieu -la destruction de tout ce qui avait un tant soit peu de valeur- dès la fin du procès d’Antoni. C’est son avocat qui te l’a appris. Il savait où te trouver : dans votre salon de tatouage…

Ce fut clairement l’année la plus merdique de ta vie. Le grand soleil de l’été te déprimait et tu n’acceptais guère de voir que ton vieil ami mexicain, Abedon. A moins que ce ne soit pour la coke qu’il te ramenait. Il était déjà à l’époque Dealer pour les Bastardos. Tu le payais avec le fruit de tes rapines, toi qui t’était fait alors pickpocket. Le salon avait été vidé de tout le matos, tu pensais qu’Antoni avait du le vendre pour payer son requin.

Mais ton squat finit par déplaire à certains. Tu les connaissais. Tu savais parfaitement qu’Antoni payait chaque mois la Jackowo pour la “protection” de son salon. Tu te doutais bien qu’Antoni avait traité avec eux pour se payer son avocat requin. Mais tu ne t’attendais pas vraiment à ça. Pas à la voir débarquer pour te flanquer une rouste et te virer de là. Ce n’était plus chez toi. C’était chez eux. Bon, la première leçon a été un brin violente. Mais c’était un bien nécessaire. Quand l’autre vint te voir, tu l’écoutas. Il t’expliqua qu’Antoni avait mis en gage son salon pour se payer l’avocat. Un gros prêt. Mais Antoni avait assuré vos arrières. Il te suffisait de prendre cette dette à ton compte, de la payer, pour récupérer le salon. Ils ne t’attendraient pas définitivement. Dans un an et demi, ils allaient le vendre, ce salon. Cela lui donnait un an et demi pour récupérer l’argent. L’autre ne perdit pas de temps à te proposer de bosser pour eux. Il était certain que tu ferais un tabac sur le trottoir. Mais soyons franc. Tu n’avais aucune envie de bosser pour eux.

Pourtant, y a pas masse de solutions pour réunir plusieurs milliers de dollars en si peu de temps et sans aucun diplôme. L’arnaque. Le deal. La prostitution. L’arnaque avait un côté plaisant, mais tu ne savais pas par où commencer. Tu trouvais le deal bien trop risqué. Comme la prostitution pour les Jackowo. Sans compter qu’alors, tu n’avais nulle envie de vendre ton corps. Tu étais encore en deuil. Tu restais fleur bleu. Finalement, tu allais bosser au The Male. C’était un bon compromis. Pas vraiment de la prostitution, il s’agissait juste de faire boire des femmes et des hommes en mal de compagnie. Les complimenter. Flirter un peu avec eux… Tu ne pensais pas ce métier très difficile.

Tu n’eus guère de mal à te faire engager. Tu étais beau et beau parleur. Pourtant, tu ne tarda pas à découvrir qu’il y avait des subtilités. Tes débuts ne furent guère encourageants, mais grâce aux conseils de tes aînés, tu commenças à empoché des pourboires au deuxième mois. Tu stoppas aussi la coke, c’était pas autorisé d’en prendre là bas. Ça aussi, ça a pas été facile. Tu as peut être un peu abusé sur l’herbe et l’alcool dans un premier temps. Mais tu finis par devenir clean, tu laissas même tomber ces pis aller : tu devais garder tout ton salaire pour payer ton salon.

A cette époque, tu squattais la piaule de Bohuslave, ton ami ukrainien. Il était plutôt soulagé de te revoir en un seul morceau celui là. Il te laissait squatter sans que tu payes rien. Il voulait que tu réussisses. C’est lui qui t’encouragea à passer le cap. Il pensait que tu devais vraiment devenir gigolo pour réunir suffisamment d’argent. Travailler six jours sur sept n’était pas suffisant si tu restais hôte seulement. Il n’avait pas tord, tu avais fait tes calculs aussi. En plus, qu’il ajoutait en rigolant, tu allais finir par te rendre fou si tu ne recommençais pas à baiser. Tu l’as écouté, et tu couchas avec tes clients pour la première fois le juillet de cette année, à 19 ans. Cela n’avait rien à voir avec Antoni. Au début, tu te sentais mal, puis tu t’es laissé porté. C’était juste du sexe. Comme tu te laissais aller, tu finis même par laisser filtrer tes fétichismes et découvris les sous sols du The Male. Tu finis par acquérir une certaine confiance de la part du dirigeant, ou du moins, c’est ce que d’autres t’ont fait comprendre puisque tu ne crois pas l’avoir rencontré, ce dirigeant. Mais tu appris à faire attention aux mots de tes clients et même à leur arracher quelques confidences, pour tout rapporter. Tu compris à ce moment là que The Male était plus qu’un bar à hôtes avec services supplémentaires. Mais tu y étais bien. Les clients n’étaient pas tous très ragoutants, certains même complètement dégueulasse, et tu n’avais pas le choix de tes partenaires. Mais qu’importe. Tu tenais, parce que tu avais un but.

Tu as travaillé un an là bas. Douze mois, accumulant au total 26 000 dollars. Tu avais bien travaillé. Tu avais réussi à arracher un mois supplémentaire en pourboire et services supplémentaires. Tu n’avais pas réuni tout l’argent nécessaire en vérité. Mais en parallèle de ton boulot au The Male, tu avais pris quelques cours de business. Et tu t’étais rendu au Jackowo’s Pawn avec un super plan de business pour ton salon. Tu avais la moitié de l’argent, tu ne pouvais pas réussir à avoir l’autre moitié en seulement six mois. Mais tu prouvas que tu pourrais rembourser sur plusieurs années. Tu prévoyais un remboursement sous dix ans de la deuxième moitié, avec les intérêts pratiqués par les banques. Tu défendis ton projet bec et ongles. Et ça passa. Tu leur versas 25 000 $ et eux te permirent de reprendre les clefs de ton salon, mais aussi de récupérer tout le matériel qu’ils avaient gardé. Tu avais encore mille dollars pour acheter ce qui manquait.

Les premiers mois furent difficiles. Il fallait regagner la clientèle, s’assurer d’avoir toujours assez d’encre, trouver les moyens de se déplacer en convention tatouages, faire de la pub pour que dalle. Mais tu t’en sortis. Surtout parce que les anciens clients d’Antoni revinrent rapidement. Chaque mois, en plus de payer la taxe protection, tu donnais à la Jackowo une grosse partie de ton bénéfice pour les rembourser. Dès que tu pouvais, tu consolidais ton commerce. Tu devais racheter des bijoux pour ceux que tu perçais. Tu te fis une petite réputation en personnalisant des bijoux très simples. Mais aussi par la qualité de tes tatouages.

Tu t’es aussi réapproprié ta sexualité, ton corps. Tu n’as pas honte de ce que tu as fait pour reprendre ton salon. Mais tu as conscience que tu as changé en faisant cela. Tu n’es plus du tout fleur bleu désormais, bien au contraire. Tu as même une sexualité libre et affichée. Sans honte. Tu fréquentes les milieux sadomasochistes et c’est là que tu y trouves la plupart de tes partenaires. Tu as deux limites : pas de marques sur ton corps et pas d’humiliations. Ce n’est pas parce que tu aimes avoir mal au lit que tu as une personnalité soumise. Tu as ta fierté après tout.

Tu n’as peut être pas continuer à grimper l’ascenseur social comme ton père aurait voulu. Tu as même dégringoler. Mais ce que tu as maintenant, tu ne le dois qu’à toi même. Pas à tes parents. Pas à ton meilleur pote dealer des Bastardos, surtout pas à lui. Pas à ton autre meilleur pote soldat de cœur de la Jackowo. Bon, si, tu lui dois une fière chandelle à lui quand même... Et tu es un véritable artiste. Tu as raison d’être fier.

Cela fait six ans que tu as conclu ton pacte avec le diable. Six ans que chaque mois, tu verses une partie de tes bénéfices à la Jackowo. Pas une seule fois tu as failli. Tu préférais encore t'affamer une semaine que manquer un paiement. C'est plus confortable d'être un bon payeur. Tu n'as aucune confiance dans cette mafia. Tu sais que s'il le faut, ton meilleur ami viendra te chercher par la peau des fesses pour te faire bosser pour eux. Mais maintenant que ton affaire est bien en place, tu vois les quatre ans à venir avec plus d'assurance. Les beaux jours sont encore à venir.

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Autre chose : Peu de présences, mais j'essaie toujours d'en avertir mes partenaires et de les tenir au courant ~
As-tu bien lu le règlement? : Oui bien sûr ~
Comment as-tu découvert ce forum? : Me semble que ce sont deux amies qui m’en ont parlé ~
C'est quoi ton avatar ? : Illumi Zoldick, Hunter X Hunter
As-tu lu les manga Love Pistols ? : Les premiers tomes
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Changerais-tu quelque chose? : Nop
Mer 1 Mai - 19:14
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Enfin là toi! On t'attendait presque plus.~ Javier Katari [100%] 1789552348

Va donc gribouiller maintenant!


Tu es validé(e).

A présent tu peux aller faire un tour sur le forum pour faire ta fiche de liens, si l'envie t'en dit, puis ta fiche de RPs, qui te permettra de savoir quels rps sont en cours ou finis ou abandonnés etc.
Tu pourras également allé voir les demandes de RPs pour débuter ton aventure sur le forum et pense aussi à faire une demande de logement si tu ne veux pas dormir à la rue~
Jeu 9 Mai - 0:01
http://love-pistolsv2.forumactif.com/t30-les-fiches-exemples http://love-pistolsv2.forumactif.com/t22-l-exemple-de-fiche-de-liens http://love-pistolsv2.forumactif.com/t23-l-exemple-de-fiche-de-rps
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