RSS
RSS


NC18 - Contient de la violence et de l'érotisme

2032, le visage de Chicago a bien changé... Et celui de la communauté thérianthropique également...
 
Nous sommes en avril 2032, l’hiver se termine enfin sur Chicago et après des neiges et des gelées
quelques peu excessives, le soleil commence à pointer le bout de son nez ! Il ne fait pas encore très
chaud et il faut donc continuer à se couvrir pour sortir, mais les rayons viennent redonner meilleure
mine à la ville et les gens viennent de nouveau se poser en terrasse pour prendre un café !
Les clans ne peuvent que constater la nette augmentation des disparitions. Les Bastardos quant à eux
s’énervent encore un peu plus sur le fait que quelqu’un vient vendre de la marchandise qui n’est pas
la leur sur leur territoire (même si tous les territoires restent touchés) et les esprits s’échauffent
de ne pas arriver à trouver qui sont les coupables !
Le Deal du moment : -40%
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + ...
Voir le deal
29.99 €

 :: Introduce yourself :: Fiches personnages :: Les thérianthropes Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Acide silicique - Sylas S. Jacob
Sylas S. Jacob
Acide silicique - Sylas S. Jacob R4oo
Race : Canidé - Renard Véloce Commun
Masculin
Humeur : World is happyyyyy
Emploi : Etudiant en droit
Messages : 200
Points rp : 161
Canidé
Canidé
Sylas S. Jacob

Sylas S. Jacob


Prénom : Sylas Scott.
Nom : Jacob.
Surnom : Sylly.
Date de naissance : 25 février 2006.
Âge : 26 ans.
Sexe : Mâle.
Origines : Américaine.
Nationalité : Américaine.
Orientation sexuelle : Il ne s'est pas vraiment posé la question.
Emploi : Etudiant en droit.
Groupe : Civil.
Race : Petit gabarit - Renard véloce commun (Vulpes velox velox).


Identification


Goûts :
Je suis un grand fan de sodas, alcools et boissons en tout genre. Mon estomac n'a clairement aucun fond et j'adore le remplir encore et encore de produits autant sucré que salé, même si j'avoue avoir une petite préférence pour le croquant des frites plutôt qu'à la douceur d'un bonbon. Je dirais que je suis le genre de garçon à aimer paraître inconscient. Je n'apprécie pas particulièrement qu'on puisse lire en moi comme dans un livre ouvert, gardant une certaine pudeur lorsqu'on s'intéresse à ma vie personnelle. Le bruit ne me dérange généralement pas mais j'avoue préférer le calme d'une bibliothèque dans laquelle je peux passer mes journées sans ouvrir une seule fois ma bouche. Pourtant j'adore avoir des conversions avec mes semblables, sur tout et rien : tous les sujets m'intéressent même si certains comme le vivant, la biologie, l'actualité ou la musique me passionnent plus que d'autres. J'ai quelques notions d'astronomie également et j'ai adoré me renseigner sur la cartographie du ciel.

J'ai horreur de voir mon appartement dérangé, surtout lorsque je rentre pour me reposer. J'ai quelques manies maniaques lorsque cela concerne mon environnement, j'en suis bien conscient et sur un autre territoire que le mien, j'ai tendance à être maladroit. Et je déteste paraître impoli ou sans-gêne.
L'idiotie est également quelque chose qui m'insupporte - comme tout le monde j'imagine - et je me sais plus en alerte lorsque je croise de gros gabarit. Je n'irais pas jusqu'à dire que je suis mal à l'aise mais disons que mon instinct canin préfère rester éveillé en leur présence.

J'ai tendance à éviter les endroits trop petits ou renfermés - en-dehors des bibliothèques -, leurs préférant les grands espaces et l'air pur. C'est pour ça que j'aime autant retourner chez mes parents. La liberté est encore plus délicieuse lorsque l'on n'y a pas accès en permanence. Ma gratte m'apporte autant ce sentiment, que les quelques notes s'échappant de ma bouche. Pour le reste, il faut compter sur les ouvrages les plus captivant pour m'entraîner loin du monde qui est le mien. C'est vraiment les seuls moments où je me permets de me détacher un peu de la réalité. J'aime avoir le contrôle de mon environnement, de ma vie; non, j'en ai besoin. Tout événement surprenant peut me mettre en alerte et j'ai besoin d'un minimum de calme pour empêcher mon cerveau de me coller une nouvelle migraine. Je déteste vraiment quand toutes les voix dans ma tête ne sont jamais d'accord. Et elles ne le sont jamais. Au final, c'est fatiguant d'être "moi", même si on ne dirait pas.

Caractère :
Mes amis vous diront que je suis du genre à animer autant un cours qu'une soirée décidée à la va-vite. Bon vivant, toujours le premier à rire ou à voir le côté positif là où tout le monde ne voit qu'une journée ratée. J'aime baigner mes camarades de sourires et de compliments, tout simplement parce que je sais qu'une petite note positive peut transformer une journée. Du côté de ma famille, vous entendrez de leurs bouches que je suis un bon grand-frère, un peu trop protecteur parfois et que j'ai tendance à tenir tête à mes parents lorsque je donne mon avis. J'ai une opinion bien tranchée, des croyances solides sans pour autant avoir un esprit totalement fermé au débat et aux nouveautés. J'aime mes racines, elles sont ancrées en moi mais l'appel du voyage et de l'aventure survient parfois sans prévenir, un beau matin. C'est en général dans ces moments-là que je me plais à rejoindre mes parents dans leur nouvelle maison au Texas.

Tout ça, c'est le "moi" actuel.
Si vous aviez demandé à mon entourage comment j'étais quelques années plus tôt, les réactions auraient été différentes. Je n'étais pas un jeune à problème mais disons que j'avais un côté impulsif qu'il m'a été très difficile de maîtriser. Je n'irais pas jusqu'à dire que j'étais vraiment violent et que je n'avais aucune contrôle sur ma colère. Pourtant j'avais quelques bagarres sur mon tableau, dont certaines plus grave que d'autres. Je pouvais me lancer tous crocs dehors, féroce renard en manque de sensations fortes dans une famille qui tournait trop bien pour m'en offrir. Pourtant, tout ça c'était calmé du jour au lendemain.
J'avais perdu mon oeil, faillit mourir, passé plusieurs mois à l'hôpital en observation.
Ces choses-là remettent les pieds sur Terre. Et dans toute ma faiblesse, j'avais été obligé de repartir sur de nouvelles bases. Des bases qui ne mettraient pas ma santé en péril, pour l'instant du moins.

Si l'on me demande à moi ce que je pense de moi-même eh bien... sans doute que les réponses coïncideront avec celles données par mes proches. J'aimerai rajouter que je me considère comme loyal et également plus malin que j'en ai l'air, en adéquation avec les membres de ma race. L'intelligence n'est pas peinte sur mon front lorsque l'on me croise dans la rue mais brille dans mon regard lorsque je m’attelle à mes cours. J'ai envie de profiter de la vie que l'on m'a offerte, pour le meilleur et pour le pire, malgré les quelques maladresse dont je suis parfois capable. J'ai pris du temps à reprendre confiance en moi et même si j'ai l'air en permanence sûr et certain de qui je suis et d'où je vais, à l'intérieur, mille questions et hésitations s'offrent en permanence à moi. Je crains autant la perte d'un être cher que l'échec et je ferais tout pour empêcher quelqu'un de me blesser ou de blesser un de mes proches. C'est dans ces moments-là surement que mon petit côté vilain peut ressortir. Mais ne nous affolons pas, mes petites pulsions ne sont pas grand chose dans cette ville. Tant que j'arrive à contenir les voix qui tournent en boucle dans ma tête en me lançant à tout va des concepts contradictoires, tout devrait bien se passer.

Physique :
Atypique.
Qu'est-ce que ça veut dire "atypique" dans un monde aussi coloré que celui dans lequel je vis ? Il y a trente ans, peut-être que mes épis roux indomptables à part avec un gel aussi puissant que de la superglue et mon oeil unique aux reflets verts auraient attiré un peu plus l'attention. Aujourd'hui, j'étais certes, "un peu différent" mais pas non plus complètement hors normes. Le détail qui faisait le plus tilter lorsqu'on s'attardait sur mon visage en triangle inversé - qu'est-ce que c'est que ces noms encore ? -, c'était sans aucun doute possible le cache-oeil qui planquait mon orbite droite dans une profonde obscurité. J'adorais avoir l'allure d'un pirate. Oh si, il y avait un globe derrière cet accessoire. Juste qu'il était fait de verre et non de fibres vivantes. Pour moi, montrer un faux-oeil qui ne bougeait pas était autant voire plus dérangeant que de laissant un trou vide. Autant le cacher. Ça donnait un petit effet de style.

De mon style, parlons-en : j'adorais en avoir. Bien sûr, le noir et les couleurs sombres m'allaient comme à tout le monde. Mais j'adorais y ajouter une touche vive qui s'accordait en général soit avec mon iris valide, soit avec le haut de mon crâne. Y ajouter des chaines, des bandanas, des ceintures fantaisies ou des mitaines me donnaient l'impression d'avoir mon propre style, à moi. J'aimais être indépendant. J'aimais avoir des idées et des façons de faire un peu "différentes". Entre autre les bandanas, c'était un incontournable pour moi. J'en avais une collection entière à laquelle s'ajoutait les bonnets que je m'étais lorsque j'avais encore honte de ma tignasse. Mais il faut savoir faire de sa différence une force paraît-il. Je me suis plutôt bien adapté à ce proverbe.

Du haut de mon mètre quatre-vingt cinq, j'observe la foule américaine sans avoir besoin de me briser la nuque en la levant ou en la baissant. Je n'ai jamais été du genre à perdre mon temps à la salle de sport pour ressembler à un quelconque modèle instagramable. Les quelques muscles qui taillaient un minimum mon corps étaient surtout visible grâce à l'absence de graisse sur la quasi-entièreté de mon corps - les joies d'être un jeune homme -. J'étais ce genre de gars à pouvoir m'engouffrer des tonnes de nourriture absolument pas recommandé pour mon corps, sans prendre le moindre gramme. Après il faut dire que j'avais tendance à courir assez souvent, un moyen de me vider l'esprit. Cela devait aider un minimum.

Mon corps présentait bien quelques signes distinctifs que je pourrais noter : pas de tatouages étrangement, mais davantage parce que je n'avais pas d'idées que parce que j'avais peur d'aller me faire piquer. Par contre, on peut remarquer mes oreilles aux lobes percés si on se penche un peu, ainsi que la bille au centre de ma langue. S'il y en a d'autres ailleurs ? Peut-être, il faudrait chercher pour ça. Mais n'étant pas l'homme le moins impudique du monde, ce n'est pas demain la veille que le monde sera au courant de ce qui se cache sur le reste de ma peau. J'avais pensé à ajouter un anneau à mon nez légèrement retroussé mais à tout bien y penser, c'était pour moi le genre de trou qui allait davantage à la gente féminine.
Je n'étais peut-être pas le plus viril des hommes mais mon visage n'était pas non plus totalement absent des traits qui font - de mon avis - de moi un mâle. Une mâchoire légèrement carrée, une barbe naissante lorsque j'oublie de m'en occuper pendant plus d'une journée, une pilosité présente sur le reste de mon corps y comprit le long de la fine ligne qui partait de mon nombril pour aller se perdre sous mon boxer, des épaules carrées, des mains arborant de longs doigts aux ongles coupés courts... ainsi étaient les traits notables qui me plaisaient lorsque je croisais mon reflet dans un miroir. Bien sûr, il y en avait d'autres qui me tiraient une grimace, mais c'était souvent dû à une absence, qu'à une présence. Absence de plus de muscles, de pieds plus grands, de cheveux sur cette minuscule zone derrière mon oreille qui me faisait grincer des dents. Dents relativement bien alignées et propres sans pour autant prétendre au sourire Colgate. Et ça ne risquait pas de changer vu la terreur que m'inspiraient les dentistes.

Révélations


Histoire :
Je suis né ici, à l'hôpital de Chicago, cette ville où j'ai passé toute mon enfance. Issu d'une petite famille américaine composée somme toute de mes deux parents, ma petite soeur et moi, je ne vois pas d'autre mot pour catégoriser ma vie que "normal". Ma famille éloignée est assez étendue et implantée dans le système économique du pays mais par soucis de tranquillité, Lauran et Aaron avaient décidé de s'éloigner du patrimoine familial. Je n'ai par conséquent pas beaucoup de relations avec ceux-ci, ni de connaissances portant sur leurs activités. Et il faut avouer que je ne m'y suis pas trop intéressé, préférant le calme aux problèmes que pouvaient engendrer des conflits politiques.
Né de deux parents thérianthropes, ma mère une renarde véloce petit gabarit et mon père un loup rouge du Texas moyen gabarit, j'ai eu la chance de bénéficier d'une enfance pleine d'amour et de soutien parental. Lors de l'arrivée de ma petite sœur de deux ans ma cadette et de mêmes race et gabarit que mon paternel, il avait été dur d'accepter de ne plus être le seul petit être de la famille. Je l'avais détesté. Quelques jours seulement avant que ma génitrice ne se décide à me la mettre dans les bras, réveillant ainsi l'instinct protecteur qui deviendra plus tard un trait de mon caractère à part entière. J'ai souvenir des longues vacances au Texas, dans le ranch de ma grand-mère maternelle qui s'était retirée des mêmes affaires que mes parents, aspirant tout autant à une vie tranquille. La chaleur tapante, le hennissement des chevaux, les longues nuits étoilées, tout cela constituait une enfance heureuse et équilibrée. Il en était de même pour l'apprentissage du contrôle de mon aura : j'étais suffisamment entouré et bridé pour apprendre rapidement les normes d'usage. Aussi, j'avais rapidement assimilé le concept même de politesse ou simplement de pudeur. Mon contrôle avait été correct aux alentours de mes dix ans et n'avait cessé de se perfectionner avec le temps.

En grandissant cependant, Aaron, chercheur en astrophysique avait commencé à être moins présent, trop prit dans son travail. Ce n'était pas si grave étant donné que j'étais un collégien de 13 ans et que Alyssia avait été doté d'un calme surprenant pour une petite fille. Mais de mon côté, mes fréquentations scolaires n'étaient pas les meilleures. Et tout ça, aidé par les hormones ainsi que les changements autant physiques que mentaux avaient conduit à me rendre plus impulsif. Les punitions allaient de bon train lorsque je me retrouvais dans une bagarre que je n'avais généralement pas provoqué. Mais j'étais comme ça : loyal. Lorsqu'un de mes amis se faisaient attaquer, je le défendais. Et ce, même si je le savais pertinemment en tord. L'ambiance à la maison s'était par conséquent dégradée. Il n'était pas facile d'éduquer un adolescent en étant la plupart du temps seule, même si ma mère m'avait toujours contrôlé d'une poigne de fer. Cette situation ne convenait à personne chez moi : ni à ma mère qui s'épuisait, ni à mon père qui culpabilisait de son absence et encore moins à ma petite Alyssia qui se prenait parfois les balles perdues.

Cette situation précaire aurait pu durer longtemps si je n'avais pas commencé à ressentir de fortes migraines peu après mes 16 ans. Si au début je mettais ça sur le compte du travail et du stress, ma mère avait finalement insisté pour m'emmener chez le médecin. Lauran est véritablement une femme formidable car sans son dévouement pour ses enfants, il y a de fortes chances que je ne sois plus là aujourd'hui.
Direction l'hôpital. Tests de vue, biopsie et le diagnostic tombait : une tumeur maligne avait trouvé le moyen de se loger derrière mon iris gauche. Heureusement, elle était encore petite et n'avait pas eu le temps de se métastaser. Les médecins m'ont directement mis sous chimiothérapie, un traitement bien plus lourd que ce à quoi je m'attendais. Entre la perte de cheveux douloureuse, la fatigue, les problèmes respiratoires, migraines et j'en passe, je me sentais vraiment à bout de force. Mais ma tumeur - affectueusement ou non, renommée "Maggie" - ne semblait pas vouloir se faire la malle. Sans doute que si j'avais été moins épuisé j'aurais pu tenir tête à mes parents et au corps médical lorsqu'on m'avait annoncé mon énucléation prochaine. Mais au point où j'en étais, tout était bon à prendre.
L'opération avait été un franc succès. J'avais eu énormément de mal à m'en remettre, autant mentalement que physiquement. Tout ce temps passé à l'hôpital m'avait permis de réfléchir sur moi-même, sur ce que je voulais faire de ma vie, sur la personne que je voulais être autant pour moi que pour les autres. L'absence d'une des parties de mon corps était pesante ; j'avais besoin de trouver un sens à tout ça, de combler le vide qui me démangeait parfois à m'en réveiller en pleine nuit.

L'oeil de verre me dérangeait. Je l'avais dit à mon psychologue qui, en me souriant, m'avait annoncé qu'il y avait des alternatives. Ce à quoi j'avais répondu d'un ton las qui se voulait ironique que j'avais toujours voulu être un pirate.
Jamais je n'aurais pensé qu'un simple accessoire puisse me faire tant de bien. Mon cache-œil me redonnait sourire et confiance en moi, une sorte d'alternative à ce morceau perdue. Je ne l'enlevais que pour dormir, lorsque je n'avais pas à supporter la vision de mon globe oculaire immobile.

Tout ça était passé si vite. A peine deux ans pour tout mon traitement médical. J'avais repris les cours en retard mais au moins, mes mauvaises fréquentations n'étaient plus à mes côtés. Je pouvais avancer correctement, dans le chemin que j'avais décidé de me tracer. Lorsqu'arriva l'obtention de mon diplôme, j'avais décidé d'entreprendre des études de droit par pur intérêt, sans véritablement savoir ce que je voulais faire lorsqu'elles arriveraient à terme. Mais j'allais avoir tout le temps d'y réfléchir. Maintenant que j'étais un adulte, je ressentais l'envie et le besoin de prendre les choses en main. Ma vie tout simplement. Alors la nouvelle tomba à pic.
Lauran et Aaron étaient fatigués de la ville. Les années et l'épuisement pesaient sur leurs épaules, entre autre à cause de "Maggie". Ils avaient décidé de se retirer au Texas, dans le ranch que ma grand-mère commençait à avoir du mal à tenir d'elle-même. Cette nouvelle me réjouissait pour eux, comme pour moi. J'allais pouvoir commencer ma vraie vie d'étudiant et je n'étais étrangement pas effrayé malgré le poids de la présence mafieuse dont je me rendais nettement compte maintenant que j'étais seul. Mais ce n'était vraiment pas des histoires dans lesquelles j'avais l'intention de m'immiscer : je préférais ma tranquillité. Malgré tout, j'avais hâte de découvrir cette ville qui était la mienne, d'un autre point de vue que de celui d'un enfant parcourant les sentiers parentaux.

Informations


Autre chose : Nop.
As-tu bien lu le règlement? : Yep.
Comment as-tu découvert ce forum? : Je suis le DC de Sköhll.
C'est quoi ton avatar ? : Lavi Bookman de D-Gray Man.
As-tu lu les manga Love Pistols ? : C'est en cours mais j'ai du mal vu que je n'accroche pas aux dessins.
Regardé les OAVs ? : Yep.
Changerais-tu quelque chose? : Nein. J'adore le jaune des non-validés sur le discord (pioupiou c:).
Mar 11 Fév - 22:29
https://chicagospulsions.forumactif.com/t398-acide-silicique#2257 https://chicagospulsions.forumactif.com/t403-acide-silicique-rs#2306 https://chicagospulsions.forumactif.com/t402-acide-silicique-rps
Revenir en haut Aller en bas
Rory Jefferson
Acide silicique - Sylas S. Jacob Ju5b
Race : Canidé - Amstaff bleu - Petit gabarit
Féminin
Dominance : Baguettes chinoises 8)
Humeur : Bordélique
Emploi : Dealeuse des Bastardos, indic' chez les flics
Localisation : DTC
Messages : 219
Points rp : 95
Canidé
Canidé
Rory Jefferson
Re-bienvenue toi !!! Du coup, du coup :


  • Au sujet de ta race, comme indiqué dans notre exemple de fiche, il faut aussi nous donner le nom scientifique de ton animal ! (Vulpes velox) De plus, il faudra également nous donner sa sous-espèce, étant donné qu'il y en a 3 encore existantes, donc à toi de choisir en fonction de où serait potentiellement originaire les ancêtres de la mère de Sylas :
    Renard véloce du Nord (Vulpes velox hebes)  > Nord du Montana, sud-est de l’Alberta et sud-ouest du Saskatchewan
    Renard véloce du Nouveau-Mexique (Vulpes velox neomexicana) > Nouveau-Mexique
    Renard véloce du Sud ou renard véloce commun (Vulpes velox velox) > Est du Nouveau-Mexique, Colorado et Wyoming et ouest du Texas, de l’Oklahoma, Kansas, Nebraska et Dakota du sud

  • Pour l'histoire, il nous manque quelques repères temporels ! A quel âge il a commencé à apprendre à contrôler son aura, vers quel âge son père a commencé à être de plus en plus absent, quand lui a-t-on détecté sa tumeur, etc.

    Et il serait bien également de connaître son rapport au gang ! Même s'il ne les côtoie pas forcément, la mafia ayant beaucoup d'influence dans la ville, il a du en entendre parler, connaître des personnages ayant eu des emmerdes avec eux, sentir l'influence du groupe qui contrôle le quartier dans lequel il vit... Est-ce que ça a joué sur le fait qu'il décide de faire des études de droit ?



Voilà~
Hayden aura peut-être des petits points à rajouter !
Jeu 13 Fév - 14:54
https://chicagospulsions.forumactif.com/t43-r-o-r-y-i-m-not-a-good-dog https://chicagospulsions.forumactif.com/t46-don-t-pitch-me-the-ball-l-i-e-n-s https://chicagospulsions.forumactif.com/t45-in-this-moment-jackson-knew-it-fucked-up-r-p-s
Revenir en haut Aller en bas
Sylas S. Jacob
Acide silicique - Sylas S. Jacob R4oo
Race : Canidé - Renard Véloce Commun
Masculin
Humeur : World is happyyyyy
Emploi : Etudiant en droit
Messages : 200
Points rp : 161
Canidé
Canidé
Sylas S. Jacob
Ayo ! Merci pour tes corrections ~

- La race a été remise, j'me disais bien qu'il manquait un truc.
- Pour le contrôle de l'aura :
Citation :
Mon contrôle avait été correct aux alentours de mes dix ans et n'avait cessé de se perfectionner avec le temps.
- Pour la distance avec le père :
Citation :
Ce n'était pas si grave étant donné que j'étais un collégien de 13 ans
- Pour la détection de la tumeur :
Citation :
si je n'avais pas commencé à ressentir de fortes migraines peu après mes 16 ans.

Concernant ton dernier point, j'ai rajouté ça à la fin de l'histoire, qui renvoie aussi à son envie d'être tranquille que je crois avoir sous-entendu dans le caractère. Concernant ses études, leur choix n'a pas été influencé par la présence de crimes en ville, c'était juste un domaine qui l'intéressait.
Citation :
J'allais pouvoir commencer ma vraie vie d'étudiant et je n'étais étrangement pas effrayé malgré le poids de la présence mafieuse dont je me rendais nettement compte maintenant que j'étais seul. Mais ce n'était vraiment pas des histoires dans lesquelles j'avais l'intention de m'immiscer : je préférais ma tranquillité.

Voilà, je crois que j'ai tout corrigé. J'attends de voir si tu as autre chose à dire et si Hayden aussi ! Merci du temps passé dessus Acide silicique - Sylas S. Jacob 818798200
Ven 14 Fév - 18:02
https://chicagospulsions.forumactif.com/t398-acide-silicique#2257 https://chicagospulsions.forumactif.com/t403-acide-silicique-rs#2306 https://chicagospulsions.forumactif.com/t402-acide-silicique-rps
Revenir en haut Aller en bas
Game Master
Acide silicique - Sylas S. Jacob J7v1
Race : PNJ - Maître du jeu
Autre
Messages : 502
Points rp : 8
PNJ
PNJ
Game Master
Tout est good, c'est validé~


Tu es validé(e).

A présent tu peux aller faire un tour sur le forum pour faire ta fiche de liens, si l'envie t'en dit, puis ta fiche de RPs, qui te permettra de savoir quels rps sont en cours ou finis ou abandonnés etc.
Tu pourras également allé voir les demandes de RPs pour débuter ton aventure sur le forum et pense aussi à faire une demande de logement si tu ne veux pas dormir à la rue~
Sam 15 Fév - 14:46
http://love-pistolsv2.forumactif.com/t30-les-fiches-exemples http://love-pistolsv2.forumactif.com/t22-l-exemple-de-fiche-de-liens http://love-pistolsv2.forumactif.com/t23-l-exemple-de-fiche-de-rps
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Sauter vers: